Les sélections africaines pour les éliminatoires de la Coupe du monde de football, dont la première journée s'est disputée samedi et dimanche derniers, sont drivées, majoritairement, par des sélectionneurs étrangers dont l'objectif est de les mener à une qualification historique au Mondial brésilien en 2014. Sur 40 de ces entraîneurs, ils sont 22 étrangers contre 18 locaux, alors que le contingent français est le plus nombreux avec pas moins de 10 représentants. Les 18 coachs locaux sont ceux de l'Afrique du Sud, de l'Angola, du Botswana, du Cap-Vert, de l'Ethiopie, du Ghana, du Kenya, du Lesotho, du Liberia, de la Libye, du Malawi, du Mali, de la Namibie, du Nigeria, du Sénégal, du Soudan, de la Tunisie et du Zimbabwe. Les autres sélectionneurs étrangers sont originaires de France : Manuel Amoros (Bénin), Denis Lavagne (Cameroun), Jean-Guy Wallemme (Congo), Jules Acorsi (Centrafrique), Sabri Lamouchi (Côte d'Ivoire), Michel Dussuyer (Guinée), Rolland Courbis (Niger), Claude le Roy (RD Congo), Didier Six (Togo) et Hervé Renard (Zambie) ; de Belgique : Paul Put (Burkina Faso) et Eric Gerets (Maroc) ; d'Allemagne : Gert Engels (Mozambique) ; de Bosnie : Vahid Halilhodzic (Algérie) ; du Brésil : Gilson Paulo (Guinée Equatoriale) ; du Danemark : Kim Poulsen (Tanzanie) ; d'Ecosse : Bobby Williamson (Ouganda) ; des Etats-Unis : Bob Bradley (Egypte) ; d'Italie : Luciano Mancini (Gambie) ; du Portugal : Paulo Duarte (Gabon) ; de Serbie : Milutin Sredojevic (Rwanda) et de Suède : Lars Olof Mattsson (Sierra Leone).