-Dar Beïda : distribution de 2745 couffins Plusieurs actions de solidarité sont prévues dans la commune de Dar El Beïda. Selon le président de l'APC, Lyes Gamgani, la commune a distribué des couffins de 1500 DA à 2745 familles. «350 dossiers n'ont pas été retenus parce qu'ils ne répondaient pas aux critères de sélection. Seules les personnes dans le besoin tels les nécessiteux, les orphelins, les handicapés, les chômeurs ou les personnes sans emploi, les divorcés avec enfants, les familles à faible ressource ou sans ressource, ceux ayant un salaire en dessous du SNMG et ceux bénéficiant d'un filet social ont droit au couffin de l'APC. Cette aide leur permet de subvenir à leurs besoins et parfois même à payer certaines dettes», a précisé l'élu. L'APC, en collaboration avec Air Algérie, offrira aussi 200 repas chauds dans le restaurant de la rahma, ouvert à la rue Mouloud Feraoun au centre-ville. Le Croissant-Rouge algérien (CRA), lui, distribue également 200 repas. Des bienfaiteurs viennent également en aide aux nécessiteux. Plusieurs activités auront lieu pendant ce mois sacré : une semaine du cinéma, une cérémonie au profit des jeunes ayant appris le Coran et un gala pour récompenser les lauréats du bac, duBEM et de la 5e année primaire. -Des projets en cours de réalisation L'APC de Dar El Beïda compte lancer plusieurs projets. La réalisation de quatre écoles primaires est en cours dans la commune. Un nouvel établissement scolaire aux Orangers sera inauguré en septembre, alors que trois autres sont en chantier à Hamiz 4, Hamiz 5 et Communal. La localité de Hamiz accueillera également un nouveau lycée de 1000 places, une polyclinique et plusieurs autres commodités pour «assurer aux citoyens l'accès à des services locaux», a indiqué le président de l'APC. Un stade de 6500 places verra également le jour dans moins de 18 mois à Dar El Beïda. Baraki : Absence d'espaceS de détente Le seul grand espace vert dans la ville de Baraki reste exigu pour recevoir les dizaines de personnes âgées, adultes et jeunes, mais aussi des enfants qui y affluent tout le long des journées de jeûne. Les bancs sont occupés par plus de 5 personnes. Les couloirs verdoyants sont investis vers midi. La composante humaine : des citadins âgés, fonctionnaires retraités ou commerçants, malades, des chefs de famille au chômage, mais aussi des adolescents. Les gardiens de ce jardin réhabilité en 1997 se trouvent souvent contraints d'intervenir pour faire face aux bagarres qui surgissant de temps à autre entre les jeunes.