Jeux d'échecs Organisé par la ligue Belabésienne des jeux d'échecs, en collaboration avec l'APC et la direction de la Jeunesse et des Sports, le 2ème open national de la ville de Sidi Bel Abbès se déroulera du 5 au 7 avril en cours, au centre culturel Benghazi Cheikh. Une centaine de joueurs représentant 18 wilayas et 30 clubs prennent part à cette compétition. L'open national sera disputé selon le système suisse, homologué par la fédération algérienne des jeux d'échecs, c'est-à-dire sept rounds à la cadence de 25 mn au finish avec l'ajout de 10 secondes par coup. Il est à noter la participation, à cette compétition, de maîtres internationaux et d'échphiles classés au niveau mondial ainsi que les champions d'Algérie dans différentes catégories. Alimentation en eau potable Le renouvellement du réseau d'alimentation en eau potable (AEP) de la ville de Sidi Bel Abbès, sur 15 km linéaire, a coûté 40 milliards de centimes en 2005, a indiqué le chef de l'exécutif lors d'une rencontre avec les représentants de « la société civile ». Cette opération a permis, selon lui, une économie d'eau considérable avec la baisse du nombre de fuites sur le réseau AEP. Ayant touché en priorité les zones situées au centre ville, cette opération devrait concerner dans les mois prochains le quartier populeux de Sidi Amar, pour un coût avoisinant les 60 milliards de centimes. A noter que la dotation journalière en eau potable de la ville de Sidi Bel Abbès est de 20 000 mètres cubes pour une plage horaire, en moyenne, de 6h/24h. Logement social Les 750 logements sociaux locatifs, inscrits sur le budget de l'exercice 2004 et presque tous achevés, seront livrés d'ici fin juin, selon le wali, Mokhtar Bentabet. Ce quota de logements sociaux concerne une dizaine de communes pour lesquelles un projet de réalisation de 2 000 logements a été retenu dans le cadre du plan quinquennal. Pour rappel, l'Office de gestion immobilière (OPGI) a livré, l'année dernière, 943 logements sociaux au lieu des 700 prévus, dépassant ainsi les objectifs qu'elle s'est fixée. L'OPGI fait cependant face à une crise financière aiguë du fait du volume des créances qu'elle traîne depuis des années et qui ont atteint 23 milliards de centimes en 2005, dont 13 milliards pour le seul chef-lieu.