Un réseau de faussaires démantelé La police judiciaire de la sûreté de wilaya a réussi, ces derniers jours, à démanteler un important réseau de faussaires spécialisés dans la confection de faux cachets et de documents d'administrations publiques. Les enquêteurs ont pu récupérer une quantité de ces objets et pièces falsifiées, tels des cachets des services des impôts, des certificats de scolarité, des registres du commerce et d'autres documents délivrés par les autorités administratives. Ils ont également saisi un scanner, deux micro-ordinateurs et une imprimante en couleur. Les mis en cause sont trois personnes âgées de 22 à 26 ans, qui ont été écrouées par le magistrat instructeur près le tribunal de Chlef pour association de malfaiteurs, vol qualifié et faux et usage de faux. C'est le second réseau du genre qui a été découvert par la police judiciaire en l'espace de deux mois. De son côté, la police d'Oued Fodda, sur la RN 4 (Alger-Oran), a mis la main, au début de cette semaine, sur deux dealers qui étaient en possession de 740 g de kif traité. Ceux-ci, âgés de 24 et 36 ans et originaires d'El Attaf (Aïn Defla), ont été arrêtés lors d'un contrôle à un barrage routier. Présentés à la juridiction d'El Attaf, ils ont été placés sous mandat de dépôt par le procureur de la République. Passage non protégé devant la justice Tribunal et cour de justice font face à une école primaire laquelle ne dispose pas de l'indispensable et obligatoire passage protégé — ou clouté — à la veille de la rentrée scolaire. Même les justiciables deviennent des potaches en face de l'imposante cour. Les papiers à photocopier, les cafés à prendre, et les kiosques à tabacs et journaux imposent un va-et-vient incessant perpétrant des risques d'accidents certains. L'avenue Ben Boulaïd est très sollicitée, surtout à cet endroit où se trouve le siège du Trésor public, les directions de l'hydraulique et de la distribution des eaux comme c'est également le croisement menant aux nouvelles cités et au lycée. Campus sur l'éducation préventive sur les risques naturels en Algérie Un campus consacré à « L'éducation préventive sur les risques naturels en Algérie » sera inauguré le 4 septembre prochain au centre de vacances de Tipaza, a appris l'APS auprès du président de l'association des Amis du Mont Chenoua. Ce campus, organisé par l'Association de réflexion d'échange et d'action pour l'environnement et le développement (AREA/ED) en collaboration avec les Amis du Mont Chenoua en partenariat avec le centre méditerranéen de l'environnement et de la participation de la direction de la Protection civile de Tipaza, se tiendra du 2 au 25 septembre 2006. L'atelier de démarrage aura lieu le 4 septembre au centre de vacances Le grand bleu du Chenoua qui abritera le campus destiné à des jeunes étudiants algériens et français en fin de cycle de formation et de jeunes professionnels spécialisés dans l'étude des risques naturels. 3 morts dans deux accidents de la route à Chlef Trois personnes ont trouvé la mort dans deux accidents de la route survenus à Chlef au cours des dernières 24 heures, a-t-on appris hier auprès de la protection civile. Ainsi à Hay El Houria, dans la commune de Chlef, un motocycliste a été mortellement blessé, hier vers 7h30, après avoir été fauché par un camion. La veille, deux autres personnes sont mortes à la suite d'une collision entre un camion et un véhicule léger survenue sur la RN 4 (Alger-Oran), non loin du centre-ville de Chlef, a ajouté la même source. Les USA et l'Iran unis par la première femme touriste spatiale La première femme touriste de l'espace, l'Américaine Anousheh Ansari, a expliqué hier pourquoi elle aimait porter sur sa combinaison le drapeau de son pays d'origine, l'Iran, à côté de celui des Etats-Unis, sans révéler si elle le ferait lors de son vol. Mme Ansari doit quitter le centre spatial russe de Baïkonour au Kazakhstan le 14 septembre vers la Station spatiale internationale (ISS) à bord d'une fusée russe. « Je suis née en Iran et j'y ai vécu jusqu'à l'âge de 16 ans, puis j'ai émigré aux Etats-Unis. J'ai donc gardé un grand nombre de racines en Iran et me sens très proche du peuple iranien et de la culture de ce pays », a expliqué cette femme d'affaires, ingénieur de formation, au cours d'une conférence de presse à la cité des Etoiles, le centre de formation des cosmonautes, dans la région de Moscou. « En même temps, j'ai vécu plus longtemps aux Etats-Unis et nombre des opportunités que j'ai eues ainsi que le seul fait que je me trouve ici aujourd'hui, m'ont été donnés par mon pays d'adoption, les Etats-Unis », a poursuivi Mme Ansari.