- Cité du 8 mai 1945 : Tapage nocturne, et rixes entre jeunes délinquants Les habitants de la cité Sorecal, notamment ceux de l'immeuble n° 20, vivent au rythme des nuisances nocturnes. Des jeunes délinquants s'installent derrière l'immeuble pour s'adonner à tous les forfaits. «ces jeunes consomment de la drogue et s'en prennent aux passants. Souvent, des bagarres éclatent entre eux. On est obligés de supporter des injures et des insanités, même en fermant les fenêtres», confient certains habitants. Ces derniers affirment avoir pris attache avec les services de sécurité à maintes reprises afin qu'ils interviennent et mettent un terme à ces dépassements, mais en vain. «J'ai téléphoné plusieurs fois à la police. Les policiers se sont engagés à passer dans le quartier, mais il ne l'ont pas fait. J'ai également appelé la gendarmerie. Les gendarmes ne se sont également pas déplacés», déplore un habitant. Avec l'été qui pointe le bout de son nez, les habitants de la cité redoutent le pire. «Avec la saison estivale, des jeunes passent des nuits entières à la belle étoile. Ce n'est qu'à l'aube qu'ils rentrent chez eux. Durant ces nuits, ils s'adonnent à la consommation de drogue et autres stupéfiants. Nous lançons un appel aux autorités compétentes afin qu'elles interviennent et mettent un terme à cette situation pénalisante», concluent-ils. - Ecole primaire AADL Sebbala : Les élèves reprennent les cours de français Des élèves de sixième année primaire à Sebbala vont passer l'examen de fin d'année sans avoir eu de cours de français durant le premier trimestre. D'après un responsable de l'école, «durant le premier trimestre, les élèves ont été privés des cours de français durant une vingtaine de jours seulement. Un concours de circonstance en a voulu ainsi, car l'enseignante qui assurait les cours pour ces classes est partie en retraite. Après ce départ est venu le temps de la grève qui a été enclenchée par les enseignants et n'a cessé que le 12 du mois. Entre-temps, nous avons, en concertation avec l'inspectrice de l'académie, remplacé les heures consacrées au français par des cours de soutien en arabe une semaine durant», assure-t-il.