LE DJS à Alger et… Sétif Muté dernièrement à Alger pour occuper les mêmes fonctions, l'ex-directeur de la jeunesse et des sports (DJS) de la wilaya de Sétif n'a apparemment pas quitté ses «fonctions» du côté de Aïn Fouara. Pour l'illustration, le responsable en question s'est rendu le matin du samedi 17 octobre 2015 en compagnie du représentant du bureau d'études portugais au niveau de la piscine olympique de l'Ecole nationale des sports olympiques (ENSO) de Sétif, faisant actuellement couler beaucoup d'encre. Les réserves émises par le bureau d'études et la Protection civile qui ne peut délivrer son quitus pour l'ouverture d'une piscine «submergée» par d'innombrables malfaçons et travaux bâclés sont, sans nul doute, à l'origine de la visite de l'ex- directeur, qui garde, nous dit-on, un œil sur le secteur de la jeunesse et des sports de Sétif, où il a laissé beaucoup de «dossiers» biaisés. A noter que ladite direction fonctionne encore et toujours sans directeur attitré… Les entrepreneurs de Tiaret dans l'expectative Plusieurs entrepreneurs de la wilaya de Tiaret nous ont contactés pour nous faire part des nombreux problèmes qu'ils rencontrent avec la direction de l'urbanisme et de la construction (DUC) alors que le nouveau wali n'a cessé depuis son installation d'inviter tous les promoteurs où qu'ils soient à venir exposer les éventuels blocages ou écueils bureaucratiques qu'ils endurent. Le chef de l'exécutif, qui a jusqu'alors réservé la journée du samedi aux opérateurs économiques et programmé deux journées dédiées à l'entrepreneuriat et à l'investissement, a même ouvert une messagerie électronique pour répondre individuellement aux doléances. Le hic dans l'histoire, c'est que nos interlocuteurs qui font part pour certains d'impayés (souvent à tort) pour certains projets achevés et réceptionnés continuent de craindre des retombées contre-productives à leurs démarches. C'est dire la confiance qui reste à établir... La terreur… des animaux errants ! Drôles de situations que celles vécues par certaines populations isolées de la wilaya de Tiaret ces deux derniers mois, depuis que certains animaux errants (chiens, chats et baudets) en sont venus à constituer de réels dangers pour la sécurité publique. Qu'en en juge plutôt. Des résidants des cités Emir Abdelkader et du lotissement des 48 Logements à Sougueur, 26 km au sud de Tiaret, ont vécu jeudi dernier des moments tragi-comiques quand un chat «enragé» s'est mis à poursuivre pour les agresser toutes les personnes se trouvant sur sa trajectoire. Imposant de fait une sorte de couvre-feu, ce félidé qui reste, selon certaines législations, un carnivore domestiqué depuis le néolithique, est pourtant un animal de compagnie. Ceux dont des sources locales, non confirmées par les techniciens de la santé, disent qu'il est atteint de rage n'ont pas manqué de rappeler ce qui s'est passé au mois d'août dans la localité de Mellakou, 16 km à l'ouest du chef-lieu, quand un jeune enfant de 13 ans avait été mordu par un baudet dans un douar. La jeune victime, qui souffrait de plusieurs blessures, a été admise à l'hôpital. Au-delà des chiffres concernant les battues organisées jusque-là pour juguler le fléau des animaux errants avancés par le DSP, jeudi dernier lors du forum de la presse de «Radio-Tiaret» la prudence était de mise... Journée de sensibilisation sur la mendicité à Chlef La mendicité organisée tend à devenir un véritable commerce. Normalement, au vu du dispositif de prise en charge sociale mis en place par l'Etat, il ne devrait pas y avoir pareil phénomène dans notre société. C'est cette problématique qui a été débattue hier au musée national Abdelmadjid Meziane de Chlef, à l'occasion d'une journée de sensibilisation organisée par la direction de l'action sociale de la wilaya. Y ont pris part des représentants de la direction des affaires religieuses, du département de sociologie de l'université Hassiba Ben Bouali et des services de sécurité, police et gendarmerie. L'universitaire a animé une conférence sur la mendicité d'un point de vue sociologique, tandis que les imams des deux grandes mosquées de Chlef ont présenté deux communications sur la «vision de l'islam vis-à-vis de la mendicité» et les «causes et solutions d'un tel phénomène». Dans l'ensemble, les intervenants ont mis l'accent sur le danger que représente la mendicité organisée. Une pratique interdite par la loi à laquelle s'adonnent en particulier des femmes veuves, divorcées et des mères célibataires. Certains orateurs estiment que des dispositifs spécifiques de prise en charge de cette catégorie de personnes existent au niveau de la DAS et de l'ensemble des APC.