- Clinique Pierre et Claudine Chaulet : Prise en charge de plus de 5300 brûlés en 2017 La Clinique centrale des brûlés Pierre et Claudine Chaulet, sise à l'avenue Pasteur, a pris en charge en 2017 plus de 5300 urgences de brûlure, dont 610 cas «graves», a indiqué Dr Wafek Rachid, médecin spécialiste et chargé de communication de la clinique. En 2017, la clinique centrale des brûlés a reçu 5326 urgences de brûlure, dont 614 cas «graves», alors que 385 cas ont été pris en charge au niveau du service de chirurgie réparatrice, a indiqué à l'APS Dr Wafek, précisant que la catégorie d'âge 1-15 ans représente 1264 cas. Il a fait savoir que 255 cas sont issus des différentes wilayas de l'intérieur, dont des cas «extrêmement graves», nécessitant des amputations suite à des chocs électriques. Les cas de brûlure, notamment d'enfants, augmentent durant le mois de Ramadhan, surtout avant la rupture du jeûne où la plupart des accidents domestiques surviennent par manque de vigilance. Les cas de brûlure atteignent le pic pendant la saison hivernale, selon le spécialiste qui explique la survenue de ces accidents par l'utilisation des moyens de chauffage. A cette occasion, le spécialiste a appelé les ménagères, qui passent de longues heures dans leur cuisine durant le mois de Ramadhan, à être attentives avec leurs enfants. - Cité AADL de Bab Ezzouar : Absence d'entretien et panne d'ascenseurs Une multitude de problèmes altèrent le cadre de vie des locataires de la cité AADL1 de Bab Ezzouar. «Nous attirons l'attention des responsables de l'AADL sur l'état de dégradation de notre cité, et sur la nécessité et l'urgence d'une prise en charge», disent les résidents. «Nous nous acquittons régulièrement des charges locatives, y compris celles ayant trait à l'entretien des immeubles de la cité et de leurs dépendances. Néanmoins, les services de l'AADL n'ont pris aucune mesure pour répondre à ces réclamations qui sont pourtant de leur ressort», expliquent-ils. Les locataires de la cité déplorent, entre autres, l'absence d'éclairage public dans les espaces attenants à la cité et les pannes répétitives des ascenseurs qui ne fonctionnent que rarement. Par ailleurs, et d'après les locataires, la dégradation de la cité est due en grande partie à l'absence d'agents d'entretien. Cette situation s'est répercutée négativement sur leur cadre de vie, qui s'altère de jour en jour.