Ghoul en inspection de travail à 2h du matin Le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, était présent à 2 h du matin, dans la nuit du mercredi à jeudi, au niveau du chantier d'El Hamiz. Le ministre, qui a l'habitude de ce genre d'horaires pour se rendre sur les lieux de certains ouvrages, s'est déplacé à une heure aussi matinale afin d'inspecter l'état d'avancement des travaux du pont reliant El Hamiz vers la commune de Larbaâtache dans la wilaya de Boumerdès. M. Ghoul voulait savoir sur les lieux des travaux, si la formule des horaires de travail en 3X8 était respectée. Augmentation du prix du pain à Garidi Le prix du pain normal a connu une augmentation au niveau de certaines boulangeries, comme c'est le cas à Kouba. La boulangerie, située au niveau de la coopérative G 2 de Garidi (en face de l'école primaire Mohamed Rahmani), a affiché de nouveaux prix depuis quelques jours, sans pouvoir fournir d'explications aux clients qui s'interrogeaient sur le pourquoi de la chose, alors qu'officiellement il n'y a eu aucune augmentation. Le pain normal se vend à 10 DA, alors que celui qu'on appelle communément « pain amélioré » varie entre 12 et 20 DA. Un début de grogne était perceptible chez les clients alors que le patron a laissé le soin à ses ouvriers d'affronter la clientèle mécontente. On ne manquera pas de citer qu'au niveau de certains commerces au niveau des cités de Garidi, Jolie-Vue et les Anasser, trois grands pôles de la commune de Kouba, nécessitent un contrôle particulier sur les plans prix et hygiène. Changement à la chaîne II Rien ne va plus à la chaîne II de la Radio nationale. Le départ annoncé du sous-directeur de la programmation n'est pas passé inaperçu. En poste à la chaîne de langue kabyle depuis 2005, Larfi Hamid était, à en croire les animateurs de la « deux », dans le collimateur, depuis un moment, « du fait de ses réactions qui n'ont pas plu en haut lieu ». Arezki Mellal, ancien directeur, reprend les commandes. Le directeur de la chaîne, qui a pris cette décision, reprocherait à Larfi des choix qui en « gênaient plus d'un ». Après l'arrivée du sous-directeur en 2005, beaucoup de changements furent effectués et le clientélisme banni, au grand dam de quelques personnes, s'insurgent les animateurs qui semblent décidés à mener des « actions dures » à partir d'aujourd'hui. Ce mouvement, qui s'annonce dans les couloirs de la chaîne, devra réunir en plus des journalistes, plusieurs producteurs d'artistes qui ont eu à passer lors des divers lives programmés. Selon les protestataires, un retour en arrière est appréhendé après « le saut qualitatif » enregistré ces dernières années. Crime crapuleux à Aïn Defla Quatre frères, dont un mineur, se sont acharnés, jusqu'à ce que mort s'ensuive sur leur voisin. Les agresseurs reprochaient à la victime, le fait qu'il ait usurpé à un des leurs, un emploi en qualité de gardien dans un champ. Les quatre frères ont passé à tabac la victime, en le frappant au moyen d'une chaîne et de pierres sur plusieurs parties du corps. Le malheureux décédera avant son admission à l'hôpital. Trois des agresseurs ont été présentés au juge d'instruction près le tribunal de Khemis Miliana (Aïn Defla), tandis que le principal accusé est activement recherché. RSF appelle Sarkozy à évoquer la liberté de la presse au Maroc Le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF) a demandé au président français Nicolas Sarkozy d'aborder avec le roi Mohammed VI la « détérioration » de la liberté de la presse lors de sa visite au Maroc du 22 au 24 octobre. Dans une lettre à M. Sarkozy, Robert Ménard a exprimé son inquiétude « quant à la détérioration notable de la situation de la liberté de la presse au Maroc », à cause des poursuites judiciaires contre des journalistes dans les derniers mois de 2007. « Le Maroc est assurément sur une pente dangereuse, d'où l'importance que vous abordiez ces sujets lors de vos entretiens avec Sa Majesté Mohammed VI », a ajouté le chef de RSF à l'adresse du président français.