Université. Programme de formation à l'étranger Ouvert au profit des enseignants, chercheurs et étudiants, le programme 2008/2009 relatif au lancement des programmes de formation à l'étranger vient de faire l'objet d'une large diffusion sur tous les campus de l'université Mentouri de Constantine. S'agissant du premier corps, en voie de finalisation de thèses de doctorat, un appel de candidature est lancé pour l'octroi de 400 bourses entrant dans le cadre du programme national exceptionnel (PNE). Le deuxième corps bénéficie, pour sa part, de 110 bourses de coopération algéro-française. S'agissant de la troisième catégorie, seuls les étudiants parvenus en fin de cycle et gratifiés du statut de major de promotion sont visés par cette formation post-graduée. Cependant, les candidats retenus devront subir un concours national après l'examen de leurs candidatures par les conférences régionales et un examen de conformité fait par le MESRS. Pour les majors de promotion issus du système LMD, seules quatre spécialités sont concernées, à savoir les sciences et techniques, les sciences de la matière, les mathématiques informatique et les sciences de la nature et de la vie. Pour les formations classiques sont visées cinq spécialités : les sciences de gestion, les sciences commerciales, les sciences économiques, droit et pharmacie. No parking, no market A partir de ce concept sacro-saint, né aux USA, et adopté un peu partout dans le monde, le fait de construire un centre commercial sans réfléchir auparavant à l'aménagement d'une aire de stationnement, au bénéfice de la clientèle, est considérée comme un non-sens et une aberration du point de vue des pratiques commerciales. Pour autant, cette idée ne semble pas faire d'émules à Constantine, où l'on se complait à ériger, à tour de bras, des centres commerciaux dépourvus de parking ou d'espace pouvant être considéré comme tel. L'exemple le plus aberrant, constaté sur le Vieux Rocher, est visible à la cité Kouhil Lakhdar, où un établissement de bonne facture a ouvert ses portes il y a quelques mois. Il n'y aurait rien à dire, n'était l'absence du moindre parc auto. Pire encore, à chaque fois qu'un véhicule marque un arrêt à proximité de l'un ou de l'autre des locaux commerciaux, la circulation est immédiatement compromise avec, à la clé, un bouchon garanti à chaque fois qu'un bus emprunte, au même moment cette artère, au demeurant trop étroite pour absorber les milliers de véhicules passant par cet axe stratégique. Une anarchie qui perdure au marché Bettou L'anarchie semble avoir la vie dure au marché Bettou, sis au boulevard Boudjeriou. En dépit de toutes les tentatives de mettre de l'ordre dans les lieux, et d'assainir les passages réservés aux clients, c'est le désordre qui règne. Les services du secteur urbain de Sidi Rached, habituellement assistés par la police de l'urbanisme, n'ont pas effectué, depuis une année, de descente, pour chasser les marchands informels. Une manière de prouver, une fois encore, qu'ils sont indéracinables. La situation, qui prévaut dans les lieux depuis plusieurs années, échappe au contrôle des services de l'APC, même si ces derniers ont réussi à délocaliser les indus occupants juste pour quelques mois, le temps d'effectuer des travaux à l'intérieur du marché. L'absence de suivi et la faible fréquence de d'opérations de toilettage n'ont pas cessé d'encourager ces commerçants informels à engorger, à chaque fois, les allées du marché couvert. Une situation qui a ouvert la voie aux actes de délinquance, commis surtout à l'encontre de la gent féminine, car de nombreuses victimes se sont vu subtiliser leurs portefeuilles ou leur téléphones portables.