La date du 19 juin toujours en vogue à Blida La date du 19 juin qui ne figure plus parmi les journées historiques et symboliques dans notre pays continue d'être en « vogue » à Blida. En effet, une cité et une polyclinique portent toujours cette appellation dans la ville des Roses, alors que les directives du Président sont claires dans ce sens. La célébration lundi de la Journée nationale du chahid aurait pu être une occasion pour les autorités locales de baptiser la cité et la polyclinique en question au nom de chouhada et de moudjahidine qui avaient contribué d'une manière ou d'une autre à l'indépendance du pays. Sidi M'hamed s'appelle Guechtouli Sidi M'hamed est une commune bien connue d'Alger. Le nom qu'elle porte est celui d'un personnage légendaire qui serait enterré dans deux endroits, Alger et Boghni (Tizi Ouzou). C'est pour cette raison incroyable, qu'il est appelé Bou Qebrin (l'homme aux deux tombes). Ses descendants demandent aujourd'hui une réparation historique. Sidi M'hamed porte bien un nom de famille : les Guechtouli. « En fait, le nom entier est Guechtouli Sidi M'hamed Ben Abderahmane. Il a plusieurs surnoms ; Bouqebrine, El Djazaïri, El Djardjari et Al Azhari. Mais aucun document officiel n'a une quelconque référence à sa filiation », dit Hocine Guechtouli qui représente la famille établie à Tizi Ouzou. Différentes autorités, notamment le P/APC de Sidi M'hamed et le ministère de l'Intérieur, ont été saisies pour « corriger » cette omission par ignorance. Une drôle de patate pour la St-Valentin à Djelfa Fêtée chaque année le samedi et le dimanche les plus proches du 14 février, date authentique, la Saint-Valentin aura eu certainement pour fait original, cette année, une patate offerte par une femme de Aïn Oussara à son mari en guise d'expression ludique et à la fois d'amour et d'attachement sincères. Une patate que cette bonne femme est allée dénicher dans des recoins de sa cuisine. Quand bien même cette histoire paraît burlesque, le fait encore plus mirobolant est la forme de cœur bizarre que ce féculent a pu développer grâce aux lois de la nature, avouons-le, quelquefois impénétrables ! Tant mieux, puisqu'il est question de cœur dans un contexte de fête des amoureux. Les travailleurs de la ferme Ghanem en grève illimitée Une cinquantaine de travailleurs de la ferme agricole EURL Ghanem Saïd est en grève illimitée depuis avant-hier. Cette grève décidée par la section de l'UGTA fait suite aux « multiples requêtes adressées aux autorités compétentes quant à la non-perception des salaires depuis neuf mois ». Depuis son affiliation à l'ONCV, cette EURL fait face aux contraintes d'ordres financier et matériel. Projection du film Innocence… à vendre à Jijel Dans le cadre du programme « Cinéma pour famille » initié par les responsables de la maison de la culture Omar Oussedik de Jijel, la projection du film Innocence… à vendre du réalisateur Hamza Belhadj est prévue pour l'après-midi d'aujourd'hui (jeudi 21 février) à partir de 15h. Le directeur de la maison de la culture que nous avons rencontré et qui espère une bonne affluence des familles vers la merveilleuse salle de 1100 places, affirmera que la projection sera suivie d'un débat avec, notamment, le réalisateur et des acteurs qui devraient être présents. Un séisme de magnitude 3,6 au sud-est de Relizane Un tremblement de terre de magnitude 3,6 degrés sur l'échelle de Richter a été enregistré mercredi à 9h 26 (heure locale) dans la wilaya de Relizane, indique le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG). L'épicentre de ce séisme a été localisé à 19 km au sud-est de la ville Relizane, ajoute la même source. Un enseignant agressé par son élève à Chlef Par solidarité avec leur enseignant agressé par un élève, les lycéens de l'établissement Chihane Ali de Haï El Houria, à la périphérie nord de la ville de Chlef, ont boycotté hier les cours et demandé l'intervention de la direction de l'éducation pour mettre fin à ces agissements. Ils devaient tout de même reprendre les cours en début d'après-midi après avoir reçu l'engagement des responsables concernés quant à la prise des sanctions nécessaires contre l'agresseur. Le secrétaire général de la direction de l'éducation nous a confirmé qu'effectivement des dispositions ont été prises pour traduire l'élève devant le conseil de discipline afin de l'exclure des rangs de l'établissement pour la faute grave commise. Le mis en cause aurait attendu son prof d'histoire géographie à la fin des classes pour lui porter des coups à la tête et au visage devant des élèves ahuris. Le motif de l'agression demeure inconnu pour le moment, mais quelles que soient les raisons, le geste est condamnable et nécessite la plus grande fermeté devant la multiplication de ces actes dans nos structures éducatives. Des enfants recherchent des témoignages sur leur mère Deux enfants, Merzak et Mustapha Khelifa, demandent à tous ceux qui ont connu leur mère Atika de La Casbah surnommée la taupe ou « Touba », de les contacter au 4, rue Khiat Messaoud à El Biar (Alger). Elle habitait au 7 rue Barberousse dit « katarougi » avant les années 1940, avant d'acheter deux maisons, une à El Biar (4, rue du Grand puits) en 1953 et la seconde au 14, rue Barberousse en 1956. Elle avait des papiers la désignant comme étant folle en 1957, ce qui lui a permis de faire passer des armes avec ses fils dès leur plus jeune âge. Elle a même été de ceux qui ont prononcé les paroles « Sabaâ snin barakat ! » (sept ans, ça suffit !), lorsque notre pays, qui a acquis de haute lutte son indépendance, a failli sombrer dans la guerre civile (septembre 1962). Elle fut une militante silencieuse. Elle a accompli son devoir loin des feux de la rampe. Ses enfants veulent récolter des témoignages pour se souvenir et sauvegarder sa mémoire.