L'association de promotion du tourisme d'excellence agréée L'association de Promotion du Tourisme d'Excellence d‘Oran (APTEO) a tenu, hier, sa première rencontre juste après son agrément. La réunion des membres fondateurs et du bureau a eu pour cadre l'hôtel Timgad. Dans son allocution d'ouverture des travaux, le président de l'APTE, M. Benali a lancé un appel aux professionnels activant dans tous les secteurs du tourisme, sachant que dans moins de deux ans Oran est appelée à être la capitale du GNL. Elle doit accueillir dans le courant de 2010 près de 5 000 personnes ainsi que de nombreux journalistes pour la couverture de la Conférence Internationale sur le GNL. Il s'agit a présent, a-t-il indiqué, d'être prêt sur le plan de l'hébergement, de la restauration et surtout du volet touristique pour ces invités de marque. Près de 200 colporteurs d'eau contrôlés par le bureau d'hygiène Une opération de contrôle de l'eau colportée, effectuée par le bureau d'hygiène communale, a eu lieu lundi dernier aux Amandiers. Cette eau, les colporteurs se la procurent à partir des puits d'El Hassi et de la localité dite Coca. Leur passage par le quartier des Amandiers pour accéder au centre-ville est incontournable. Ils sont recensés au bureau d'hygiène qui leur a délivré des cartes et numéroté leurs citernes. Les propriétaires des puits sont à leur tour identifiés par les mêmes services. Ils sont une soixantaine de puits dans la zone de Coca et d'El Hassi à alimenter les ménages en eau dite douce, par oppositions à l'eau saumâtre du robinet dont Oran était alimentée auparavant. Lors de l'opération de lundi, près de 200 colporteurs ont été contrôlés. Certains avaient une eau sans chlore mais la majorité transportait une eau saine. 18 biologistes réintégrés à l'hôpital d'EL Mohgoun 18 biologistes suspendus de l'Hôpital d'El Mohgoun en 2006, suite à une décision du ministère de la Santé, ont pu rejoindre, enfin, leurs postes, apprend-on des concernés. Activant depuis plus de 8 ans comme biologistes au sein du laboratoire de cette infrastructure hospitalière, ces travailleurs avaient été licenciés pour non-conformité de leurs diplômes. Ceci dit, ils étaient recrutés sur la base de l'aptitude professionnelle, sans tenir compte de la spécialité. En effet, ces biologistes ont occupé les postes de techniciens supérieurs au sein du laboratoire en question pendant une durée de 8 ans, bien qu'ils soient titulaires d'une licence en biologie, option animale et végétale. D'ailleurs, la décision de licenciement a concerné 18 autres personnes activant au CHU d'Oran.