13 ans après sa création (novembre 97), la section de lutte de la Sûreté nationale est en train de former une très bonne relève qui présente un réservoir certain pour la discipline. Sous la houlette du DTS Merzak Bouras, le travail de base et des principes inculqués aux jeunes lutteurs commence à donner ses fruits. Plusieurs écoles ont été créées depuis pour le développement de cette discipline au niveau des quartiers populaires. Une multitude de clubs activent au niveau des salles d'Hussein Dey, Bourouba, Zeghara, du complexe sportif de Caroubier (OPLA), du complexe sportif du stade Ferhani, de Semar. Dans les différents pôles de développement, des champions sont nés, après s'être distingués en championnats régionaux et nationaux organisés par la Fédération algérienne de luttes associées. Parmi ces derniers, on peut citer Sid-Azara Bachir, Kemikem Brahim, Bouzid Lounès, Ferhat Ayoub, Guebili Farès, Benchaa Fatah, Djadid Ali, Abdeslam Hamza, Djoudi Chawki... L'ensemble des athlètes est pris totalement en charge (socialement, médicalement, matériellement, sportivement...) tout au long de son évolution par l'ASSN. Pour ce qui est des entraînements, quatre à six séances par semaine sont réservées à l'élite. Alors que les écoles s'entraînent 3 à 4 fois par semaine. Les séances sont suivies par des regroupements trimestriels au sein des centres de formation et de récupération de la tutelle. En somme, l'ASSN peut s'enorgueillir de ces talents aux grandes capacités...