Par le timbre chaud et fin de sa voix, Papi Sanchez introduit une note de fraîcheur dans l'interprétation de sa musique. Courtois et bien aimable, Papi Sanchez a bien accepté de répondre à nos questions. Nous l'avons rencontré dernièrement au chapiteau de l'hôtel Hilton dans le cadre de l'événement « Wellsound » qui se poursuit jusqu'au 25 juillet, à l'initiative de « Wellcom advertising ». Présentez-vous au public algérien... Je m'appelle Robert José de Léon Sanchez et on m'appelle Papi Sanchez. Je suis né le 18 septembre 1975 à Saint-Domingue, en République Dominicaine. Je suis chanteur et compositeur. J'ai obtenu un tube international en 2005 avec la chanson « Enamorame ». A l'âge de 14 ans, j'ai formé mon premier groupe de hip-hop. Puis, je suis devenu animateur sur une radio locale, KQ94, dont je suis le directeur. J'ai ensuite enchainé des collaborations avec quelques groupes de rap. Un mot pour votre première visite en Algérie ? C'est un énorme honneur pour moi de chanter en Algérie. Un très beau pays. Des gens agréables. J'adore l'échange qui s'opère avec le public algérien. Vous enchainez les succès, quel est votre secret ? Je pense que c'est une chance, une bénédiction que j'accepte avec humilité et remerciement à mes fans et les personnes qui me soutiennent et m'encouragent dans mon travail de tous les jours. Quelles sont vos influences musicales ? A vrai dire, j'adore et je vibre pour le hip-hop américain et les sons des Caraïbes qui viennent d'Afrique. J'admets que je suis beaucoup influencé par les musiques de Big Daddy Kane et Ruben Blades. C'est quoi le plus important pour un artiste ? Mon objectif majeur est de réussir une bonne musique. La preuve, dans tous mes albums, je me donne à fond en incorporant tout mon savoir et mon expérience musicale.