Les partenaires sociaux signataires du pacte économique et social de croissance estiment que la Constitution adoptée le 7 février dernier par le Parlement constitue « un document fondamental et une référence pour une Algérie évolutive à travers une démocratie participative ». Cette nouvelle Constitution « va contribuer à la croissance économique et sociale », ont précisé l'UGTA et des organisations patronales (FCE, CIPA, CNPA, CAP, UNEP, AGEA, CGP) dans une déclaration commune transmise, hier, à notre rédaction. Ce texte est « la clé » qui va ouvrir de « nouvelles perspectives aux générations ». Il se dresse comme un « barrage » conttre tous ceux qui oseraient porter atteinte aux constantes de la nation dans les domaines culturel, économique, linguistique et social et va « éviter à l'Algérie les effets désastreux des tentatives de déstabilisation qui se tissent contre elle visant l'unité de son peuple et la stabilité de la république ». En saluant cette adoption, ces organisations se disent mobilisées pour « poursuivre, appuyer et accompagner toutes les actions entreprises par le président de la République pour hisser l'Algérie au rang les pays émergents ».