Le 5e Congrès mondial des agences de presse a pris fin, jeudi dernier, à Bakou (Azerbaïdjan), par l'adoption d'une déclaration finale qui réaffirme le principe de la protection des journalistes dans l'exercice de leur métier. La « déclaration de Bakou », adoptée à l'issue de deux jours de travaux, a mis l'accent sur l'utilisation des nouvelles technologies pour l'amélioration du rendement des professionnels des médias. Le Congrès organisé sous le thème « Les nouveaux défis des agences de presse » par l'Agence de presse nationale d'Azerbaïdjan (Azertac) et ouvert sous la présidence du chef de l'Etat azerbaïdjanais, Ilham Aliyev, a regroupé les dirigeants d'une centaine d'agences de presse, dont l'APS, représentée par son directeur général, Abdelhamid Kacha, des représentants d'organisations du système des Nations unies et des experts internationaux. Plusieurs thèmes ont été évoqués par les congressistes dont « L'avenir de la consommation des informations », « Agences de presse, défis et opportunités des nouvelles technologies et médias sociaux », « Innovation dans les agences de presse », « Formation des journalistes pour un avenir multimédia » et « Mission des journalistes : liberté, accès, sécurité et zones de conflit ». Le sixième Congrès aura lieu, en 2019, dans la capitale bulgare, Sofia. Avant l'organisation du prochain congrès, Azertac assumera la présidence du conseil (organe principal) durant trois ans (2016-2019).