De notre bureau : Acquis n De nombreux projets qui relèvent du secteur de la jeunesse et des sports, actuellement en cours de réalisation depuis plusieurs mois, seront bientôt réceptionnés. Selon des sources de la Direction de la jeunesse et des sports de la wilaya, les projets en question et que les nombreux jeunes sportifs et autres talents créateurs et artistiques dans les domaines de l'animation culturelle, des activités scientifiques, de la musique et du théâtre attendent depuis plusieurs années, connaissent un taux d'avancement notamment en matière de travaux de réalisation considérable. «Ces réalisations concernent des complexes sportifs de proximité, des piscines ainsi que des salles omnisports et autres locaux de jeunesse qui sont parfaitement aménagés, comme par exemple, des maisons de jeunes et de culture. Globalement, pas moins de 47 nouvelles infrastructures du genre seront donc livrées au secteur d'ici à la fin 2010. Parmi ces mêmes réalisations, 30 installations sportives sont presque entièrement achevées dans différentes communes de la wilaya et ne subissent, dans leur ensemble, que quelques travaux de finition uniquement. C'est aussi le cas pour les autres projets qui sont tous destinés, notons-le, aux activités de la jeunesse. Outre ces nouvelles infrastructures, le secteur a également programmé des travaux de réhabilitation et de réaménagement qui seront bientôt lancés au niveau de deux piscines notamment à Boukadir à l'ouest du chef-lieu de la wilaya et à Oued-Fodda à l'est de la ville de Chlef. Les mêmes travaux de réhabilitation concerneront également l'ex-Creps de Chlef et le centre équestre d'El-Hassania toujours dans la commune de Chlef. Les travaux de ces deux projets vont être incessamment relancés après avoir été abandonnés pour diverses raisons, cela fait plusieurs années.» Rappelons dans le même contexte que le secteur de la jeunesse et des sports compte, à travers l'ensemble du territoire de la wilaya, un effectif de 24 481 jeunes qui activent tous au sein des associations sportives, culturelles, scientifiques et de loisirs sous la houlette d'un encadrement administratif, technique et pédagogique de la DJS qui met à leur disposition les moyens humains, matériels et financiers indispensables au développement de leurs activités dans le cadre du mouvement associatif. Hay Chorfa : le calvaire Les habitants de la zone n°3 à hay Chorfa, dans la commune de Chlef, sont excédés par le problème relatif au manque d'aménagement urbain qui dure depuis longtemps. Selon leurs nombreuses déclarations à ce sujet, c'est surtout pendant la saison des pluies que leur cité est complètement inondée et ses ruelles impraticables. Les conduites d'évacuation des eaux usées, se trouvant à l'intérieur de notre zone, sont à longueur d'année totalement obstruées par différentes sortes de déchets et autres gravats. Il faut ajouter à cela, les immondices que charrient les eaux pluviales à partir des autres quartiers situés un peu plus haut. Selon les habitants, ces conduites, aujourd'hui inutilisables, n'ont, malheureusement, fait l'objet d'aucun curage de la part notamment des services de la voirie de la commune. Certaines routes et ruelles ont besoin de bitumage et même de réfection. «C'est pourquoi nous pataugeons péniblement pendant toute la saison hivernale dans la boue. Qu'il soit mis fin à cette situation qui n'a que trop duré. Nous en avons vraiment marre», crient excédés des habitants de cette cité. 19 832 candidats extrascolaires «Centre régional d'enseignement à distance» Au total, ils sont 19 832 candidats qui se sont inscrits au centre régional d'enseignement à distance Crefd (ex-Cneg) de Chlef entre la première année moyenne et la troisième année secondaire, toutes filières confondues, et ce, dans le cadre de l'année scolaire 2010/2011. Cet établissement, nouvellement réalisé, dispose d'un important équipement à la fois pédagogique, administratif et technique. Il accueille des élèves extrascolaires de plusieurs wilayas de la région du centre-ouest du pays. «Toutes les modalités et autres dispositions relatives à l'inscription de ces candidats, dont le nombre est extrêmement important et que le système éducatif rejette annuellement entre la première année moyenne et la terminale, sont à chaque fois prises en temps opportun. Comme chaque année, des cours pédagogiques pratiques seront programmés une fois par semaine pour les candidats qui se présenteront aux examens de fin d'année, à savoir le BEM et le bac. En outre, comme à chaque année scolaire, il y a l'inscription de pas moins de 1 000 autres candidats détenus notamment au niveau des centres pénitentiaires de Chlef, de Ténès, d'El-Attaf, d'El-Khemis et de Aïn Defla. Ceux-ci reçoivent régulièrement leurs cours pédagogiques ainsi que les corrections de leurs devoirs en fonction de leurs niveaux scolaires respectifs, et ce, sous la houlette de plusieurs professeurs qui assurent leur suivi d'une manière tout à fait permanente, surtout pour ceux qui se présenteront aux examens de fin d'année.» Le danger environnemental s'accentue à Cheraït ! Pour les habitants de la nouvelle cité des 651-Logements située dans la localité de Cheraït, le danger écologique et environnemental dans lequel ils vivent depuis qu'ils occupent ces habitations est sérieux, voire imminent. «C'est dans le cadre de l'éradication des bidonvilles que nous avons habités pendant de longues décennies un peu partout et dans des conditions des plus défavorables à tous les niveaux, que ces logements ont été, soi-disant, réalisés en notre faveur. Mais, en fait, c'est du pareil au même. Bien que nouvellement réalisés, ces logements manquent d'aménagements urbains, de routes et de ruelles, de trottoirs, d'aires de jeux pour les enfants, d'alimentation en eau potable, de structures pour les jeunes et de beaucoup de commodités nécessaires à la vie quotidienne des 156 familles qui habitent cette cité. Mais ce qui est encore plus grave, c'est que nos habitations sont dépourvues de conduites d'évacuation des eaux usées. «Imaginez-vous qu'en 2010, chacun de nous rejette ses besoins et ses eaux usées dans des fosses septiques que nous avons nous-mêmes réalisées juste à proximité de nos quartiers», affirment des habitants. Cette situation, au fil du temps, n'arrête pas de provoquer une pollution sans précédent en raison des odeurs fétides et insupportables que ces fosses exhalent continuellement, et aussi à cause des multiples insectes nuisibles qui envahissent le quartier.