Oran : Un homme a fait l?objet d?une agression, mardi dernier, par trois individus à l?aide d?armes blanches, alors qu?il était avec sa compagne dans la forêt de M?sila. B. M., la victime, a été délestée également de son véhicule de marque Renault Clio. Une plainte a été déposée après que cette victime se fut présentée à la brigade de Gendarmerie nationale de Boutlelis. Une enquête est en cours. Médéa : Accostés par un groupe terroriste au lieu dit Oued M?saguid, six mineurs ont été questionnés sur les mouvements des services de sécurité. Les mineurs en question n?ont pas informé la brigade locale de ce fait. En outre, investigations faites, il s?est avéré qu?ils sont impliqués dans le cambriolage des logements de deux citoyens de cette localité. Présentés devant le procureur de la République, ils ont été remis en liberté provisoire. Mostaganem : A la suite d?un différend, une rixe a éclaté entre B. B. M., les frères B. B. S., M. et A. d?une part et B. B. C., 53 ans, d?autre part, entraînant la mort de ce dernier. Thaïlande : Les deux géants de l'industrie des soins corporels, l'Américain Procter & Gamble (P&G) et l'Anglo-Néerlandais Unilever, se cherchent des poux dans la tête. Unilever a, en effet, annoncé qu'il engageait des poursuites contre son principal concurrent dont un spot sur un shampooing antipelliculaire ne lui a pas plu. On peut le comprendre. Dans ce spot, P&G vante les mérites de son shampooing Head & Shoulders en affirmant que les tests en laboratoire ont prouvé que son concurrent est moins efficace que lui pour combattre les pellicules. Faux, rétorque Chutharat Thanapaiarnkit, porte-parole d'Unilever-Thaïlande. Bien que dans ce spot, le nom de ce concurrent soit dissimulé, le flacon ne laisse aucun doute aux yeux du public qu'il s'agit de Clinic Clear d'Unilever, estime Mme Chutharat. Elle affirme notamment que les résultats des tests en laboratoire ont été truqués et que ces tests n'ont pas été réalisés par un organisme indépendant. Alors que les tests réalisés par Unilever l'ont été par un laboratoire indépendant et démontrent, selon elle, la supériorité de Clinic Clear. L'affaire risque de s'envenimer, P&G ne démord pas de sa position et menace, à son tour, de poursuivre son concurrent. USA : Deryl Miles, un habitant du village de Gilette, dans le Wyoming (nord-ouest des Etats-Unis), est accusé d'avoir séquestré le chat de sa voisine et d'avoir réclamé une rançon de 50 dollars (45,5 euros) pour le rendre, au motif que le matou dénommé Brunswick s'était aventuré dans son jardin. L'homme a été arrêté et inculpé d'enlèvement d'animal et de vol. Il avait séquestré Brunswick dans une cabane installée derrière son mobil-home, selon le tribunal. Encerclé par la police, Miles avait alerté le quotidien local depuis sa caravane pour affirmer qu'il avait «enlevé le chat tout à fait légalement parce qu'il était entré sur sa propriété». Miles a refusé de libérer Brunswick et s'est même offert une brève course-poursuite avec les policiers dans son jardin avant d'être finalement interpellé.