Erich von Däniken précise qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedra Blanca, au sud-est, près de 100 km en Land-Rover, dans une jungle hostile où il fallait soulever la voiture à l?aide d?un levier pour la faire avancer et, à un certain moment, elle refusa d'aller plus loin. Ensuite, après une heure de marche, assisté d'un guide expérimenté, il réussit à se trouver en face de deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par leur masse au milieu de cette forêt. C'était justement parce que ces boules de Piedra Blanca «se trouvaient au plus profond de la jungle que cela valait la peine d'aller les filmer». Effectivement, il faut bien se poser la question de savoir comment ces objets sphériques de la forêt, qui, vu leur perfection, ne peuvent qu?être artificiels et remonter, à n'en pas douter, à une époque très reculée, se sont trouvés projetés inexplicablement au c?ur de la jungle. Plusieurs possibilités : Soit ces boules ont été taillées (avec une habileté ahurissante qui reste à définir) il y a seulement quelques centaines d'années dans une carrière lointaine (puisqu'il n'en existe aucune à moins de 100 km dans la région) dans des blocs forcément plus lourds et dépassant au moins 24 tonnes pour les boules de 2,5 mètres de diamètre, pesant, on le sait, près de 16 tonnes (une telle carrière ne manquerait pas d'être aperçue, vu le chantier qu'elle entraînerait). Puis, on doit penser que ces boules ont été transportées par un moyen inconnu, qui dépasse largement notre entendement, au travers de toutes les embûches de la forêt et abandonnées là pour une raison incompréhensible. Soit, et cela dépasse de loin les thèses officielles, ces boules été placées là avant l'arrivée de cette forêt. Ce qui nous plonge dans des temps plus que préhistoriques où les hommes étaient incapables d'élaborer des objets d'une géométrie aussi parfaite qu'une sphère. Soit, encore plus fort, ce sont les dieux cités par les mythologies qui, avec leur technologie supérieure, ont élaboré ces blocs sphériques pour des raisons que nous ne pouvons évidemment pas encore comprendre puisque l'existence réelle même de ces dieux est sujette à caution. L'un des précurseurs ayant préconisé cette thèse en France a été Jean Sendy, auteur de l'ouvrage surprenant La Lune, clé de La Bible (paru chez l'éditeur Julliard en 1968 et en collection de poche J'ai lu n°208 en 1974) et on peut dire ainsi qu'il a initié une nouvelle discipline (non encore officielle) que l'on appelle l'astroarchéologie. (à suivre...)