57 hectares dévastés par le feu à Béjaïa l 57 hectares de végétation ont brûlé la semaine dernière dans la wilaya de Béjaïa, théâtre de huit incendies consécutifs, indique un bilan hebdomadaire de la conservation des forêts. Les incendies survenus essentiellement dans les daïras de Seddouk, Chemini et Adekar, ont affecté plus de 30 hectares d'arbres fruitiers, dont notamment les oliviers. Depuis l'ouverture de la saison estivale, pas moins de 168 hectares sont partis en fumée dont 103,5 d'arbres fruitiers. 60 000 sans-abri en Corée du Nord l Le Programme alimentaire mondial (PAM) de l'ONU a indiqué aujourd'hui que les inondations survenues le 10 juillet en Corée du Nord ont laissé soixante mille sans-abri et ravagé trente mille hectares de terres cultivables. «Environ 75% des sinistrés se trouvent dans une province du centre du pays», indique un rapport émanant de cette agence onusienne et diffusé à Séoul. L'inondation de trente mille hectares de terres cultivées a provoqué la destruction de cent mille tonnes de nourriture. Le PAM a également indiqué qu'il préparait un premier envoi de 74 tonnes de nourriture afin de venir en aide à 13 000 sinistrés. Un géant des jeux investit 8 milliards de dollars l Le géant américain des jeux Las Vegas Sands veut doubler ses investissements à Macao, capitale des casinos en Chine, pour les faire passer à plus de huit milliards de dollars sur les quatre à six ans à venir. Las Vegas Sands est déjà largement présent en Asie. A Macao, seul endroit de Chine où les casinos sont légaux, l'américain construit pour 1,8 milliard de dollars une réplique quasi-identique de son casino phare de Las Vegas. Des poissons «cobayes» contre le bioterrorisme l Les autorités japonaises vont se servir de minuscules poissons pour détecter rapidement toute éventuelle contamination du réseau hydraulique, dans le cadre de mesures de protection contre le bioterrorisme. Ces poissons de l'espèce des killies, orange clair et mesurant environ 4 centimètres, que l'on retrouve souvent dans les aquariums au Japon, serviront aux autorités de cobayes pour tester les canalisations. Un comportement erratique, une façon de nager en surface en raison de problèmes respiratoires ou un éventuel décès du poisson constitueront les signes d'alerte. «Ce système de surveillance vivant de l'eau est utile, car les filtres à eau traditionnels ne détectent les contaminations qu'au bout de 15 heures, tandis qu'avec les poissons nous serons prévenus au bout de trois heures», a affirmé un responsable du projet.