Guelma : 185,3 g d?or non poinçonné ont été saisis par les gendarmes dans un local commercial appartenant à un complice de deux personnes interpellées sur la RN 20 alors qu?elles transportaient 565,5 g d?or non poinçonné dans leur Peugeot 306. Mila : F. R., 29 ans, ouvrier dans une carrière, s?est rendu à la salle des commandes pour la mise en marche du concasseur et a reçu une décharge électrique qui l?a tué sur le coup en essayant d?ouvrir la porte métallique. Le corps de la victime a été déposé à la morgue de l?hôpital de Oued Athmania. Oran : En se rendant à son bureau, B. H. M., ingénieur-expert, a trouvé la porte ouverte et constaté la disparition de la somme de 370 000 DA et d?un ordinateur portable. L?enquête a mené à la présentation devant le procureur de la République, pour vol, de 4 personnes dont deux agents de sécurité dans une société de gardien. France : Les parents d'une fillette qui avaient déclaré, cette semaine, la disparition de l'enfant ont été mis en examen pour homicide volontaire vendredi après-midi, a-t-on appris auprès du parquet de Saint-Etienne (Loire), qui précise qu'ils devaient être écroués dans la nuit. Ils sont soupçonnés d'avoir tué la petite fille il y a trois ans. Mercredi après-midi, ce couple s'était rendu à la police pour déclarer que leur fillette de six ans et demi avait disparu et qu'elle aurait même été enlevée alors qu'ils se trouvaient ensemble à une fête foraine à Firminy (Loire). Au cours de leur garde-à-vue, dans la nuit de mercredi à jeudi, ils auraient reconnu avoir tué l'enfant, pour une raison et dans des circonstances indéterminées, puis fait disparaître son corps voici trois ans, tout en réussissant depuis à cacher son décès. La non-scolarisation de l'enfant pour des motifs médicaux qui n'étaient pas corroborés par un certificat médical était parue suspecte aux yeux de la directrice de son école maternelle. Des enquêtes administratives avaient été ouvertes depuis plusieurs mois par l'Inspection académique de la Loire, ainsi que par la Direction de la protection sociale de ce département. - L'enquête, qui a entraîné la mise en examen jeudi du directeur d'une maison de retraite de Reims (Marne), se poursuit pour tenter notamment d'établir d'éventuelles maltraitances dont se sont plaints plusieurs pensionnaires. L'enquête ne porte actuellement que «sur un seul décès». Une infirmière de la maison de retraite Hotelia a été entendue par la police, mais n'a pas été mise en examen. Les faits dénoncés par plusieurs pensionnaires de l'établissement seraient plus liés au manque de soins, par insuffisance de formation du personnel, qu'à des actes de maltraitance active. Des pensionnaires se sont notamment plaints que des couches souillées n'aient pas été changées, de même que des assiettes sales à la suite de régurgitation. Selon les premiers éléments de l'enquête policière, le directeur de l'établissement, en vacances pendant la période de fortes chaleurs, n'a pas interrompu son congé.