« Le RCK est une équipe qui est revenue à son meilleur niveau dernièrement, après sa victoire obtenue à Saïda. » * Tout d'abord, un mot sur l'ambiance qui règne aux entraînements ? Ça va, il y règne une très bonne ambiance. Les joueurs sont tous solidaires et on est tous optimistes et décidés à remporter le match de ce jeudi contre le RCK. * Apparemment, le match est tombé au mauvais moment pour l'équipe au vu des problèmes qu'il y a actuellement au club ? Oui, c'est vrai. Le club est en train de vivre certains problèmes concernant le conflit qui oppose le président aux membres du comité directeur. Mais nous, on ne se soucie pas de ce problème car il ne nous concerne pas. Nous, on est concentrés sur ce match, et rien d'autre. * Enfin, vous allez retrouver la compétition après deux mois de trêve… Ah, oui. Sincèrement, j'ai hâte de retrouver la compétition officielle. On n'a pas joué le moindre match en championnat depuis le 18 décembre. Ça fait donc deux mois. * Est- ce que vous avez rencontré des difficultés ? Bien sûr, car cette trève a trop duré. On a effectué un stage bloqué en Tunisie afin de garder notre forme, mais finalement cela n'a servi à rien. Notre préparation a été perturbée. On a essayé de combler le vide par les matchs amicaux. * Que pensez-vous du match face au RCK ? Ce sera un match très difficile pour nous. Le RCK est une équipe qui est revenue à son meilleur niveau dernièrement, après sa victoire obtenue à Saïda. De plus, c'est une équipe qui est très forte dans ce genre de confrontations. Les Koubéens ont battu l'USMA et le NAHD chez eux, sans oublier qu'ils ont battu le CRB au stade Benhaddad. Je pense que pour remporter ce match, il ne faudra pas sous-estimer les Koubéens. * Jusqu'à présent, personne ne connaît le lieu du déroulement de la rencontre ? Oui, c'est vrai. Nous les joueurs, on ne connaît toujours pas le lieu du déroulement de cette rencontre. On espère seulement que ce match soit domicilié dans un stade qui pourra contenir la grande masse de supporters qui vont se déplacer. Que le fair-play règne. Entretien réalisé par Hamza Rahmouni