Le milieu offensif algérien, Rafik Saïfi, fait le point sur son état de santé, et évoque son avenir en club. De retour à l'entraînement après une blessure aux adducteurs, le milieu offensif algérien, Rafik Saïfi, fait le point sur son état de santé avant le quart de finale face à la Côte d'Ivoire, dimanche, et évoque son avenir en club. * Rafik, où en est votre blessure ? Je reprends la course aujourd'hui (NDLR : mardi) et on va voir comment ça va évoluer. Je ne ressens plus de douleur. Maintenant, on va effectuer un bilan quotidien. Le but est d'être prêt pour les quarts de finale. On a besoin de tout le monde pour ce match, vu qu'on a déjà perdu quelques éléments (NDLR : Gaouaoui, Lemmouchia, Bezzaz). Je ne suis pas à 100 % pour livrer un match complet mais si je peux aider le groupe en entrant en seconde mi-temps, pourquoi pas. * L'équipe de Côte d'Ivoire vous impressionne-t-elle ? On continue sur notre lancée et le premier match (NDLR : face au Malawi) est oublié maintenant. Il ne faut pas se poser de questions ni se prendre la tête. On sait que c'est la Côte d'Ivoire, une grande équipe avec des joueurs de haut niveau où chacun a un nom. Mais la vérité, ça reste le terrain. Et là, on sera onze contre onze. * On vous a annoncé du côté de Sochaux récemment. Allez-vous revenir en Ligue 1 ? Sochaux, c'était faux, mon agent ne m'en a pas parlé mais j'ai des touches, effectivement, avec des clubs de L1. J'aimerais bien revenir en France pour les quatre ou cinq prochains mois. Cela me permettrait de bien préparer la Coupe du monde. Rien n'est fait pour l'instant. Il faut que je trouve un terrain d'entente avec Al Khor (NDLR : son club au Qatar, qui ne le veut plus), sinon je retournerai là-bas pour finir mon contrat. In Le Parisien