Le maintien est officiellement assuré et la JSK pense déjà à la saison prochaine. Alors que les anciens montent au créneau pour pousser le président Hannachi prendre la porte, le manager général, Karim Doudane, a entamé sa mission. A une journée de la fin du championnat, plusieurs joueurs ont été déjà contactés et il ne reste qu'à les convaincre de signer à la JSK. Alors que Tedjar, Bencherifa, Douad et Gaâgaâ ont déjà été sollicités, une source bien informée nous a confié que le manager kabyle a discuté récemment avec le milieu du CSC, Sameur. Toujours sous contrat avec son club, l'international A' a déjà donné son accord de principe, mais sa situation administrative pose toujours problème. Et comme le joueur intéresse toujours les Jaune et Vert, nous avons appris que Doudane a déjà fixé un RDV, ce vendredi, avec le joueur pour entamer les négociations. Si les deux hommes parviennent à trouver un terrain d'entente, le milieu de terrain pourrait être kabyle prochainement. Le CSC exige 600 millions pour le libérer Ayant signé un contrat de deux saisons avec le CSC, Sameur ne sera pas libre avant juin 2016. Ce qui rend son transfert à la JSK très difficile. A en croire une source fiable, la direction du club constantinois a accepté de libérer le joueur, mais lui exige de restituer environ 600 millions, une somme que le joueur juge exagérée. Il n'a pas perçu trois mensualités Au moment où le CSC exige de Sameur de racheter sa libération, le joueur a confié à ses proches qu'il n'a pas perçu trois mensualités. Du coup, il sera difficile pour lui de restituer l'argent pour récupérer sa lettre de sortie. Une situation compliquée que le joueur n'arrive pas à régler. «Défendre les couleurs de la JSK, ça m'intéresse ! » Afin d'avoir plus de détails concernant le contact de la JSK, nous avons pris attache avec Sameur, lequel estime que la JSK l'a déjà contacté et que tout sera clair ce vendredi lors de son rendez-vous avec le manager kabyle, Karim Doudane : «Effectivement, la JSK m'a contacté, mais je n'ai pas encore mon destin entre les mains. Je suis toujours sous contrat et la direction refuse de me libérer gratuitement. Je vais rencontrer Doudane ce vendredi pour en discuter. On verra après !»