Bloqué par la lettre de libération en raison du refus de son entraîneur de le libérer, Abid, le jeune attaquant harrachi, n'a pas son destin entre les mains. Il devra attendre encore pour savoir s'il jouera ou non à l'étranger, mais une chose est sûre, Abid est partant cet été. Cependant la direction de l'USMH ne veut pas vendre son joueur à n'importe quel prix, raison pour laquelle elle a décidé de fixer la barre à 400 000 euros. On sait que Mana aimerait vendre son poulain pour 500 000€, mais sachant que cette somme dépasse les prévisions des clubs intéressés par les services d'Abid il a ainsi décidé de consulter les membres actionnaires qui ont décidé de fixer la barre à 400 000 euros. En attendant l'offre de Braga et l'ES Tunis, le président Mana tente par tous les moyens de convaincre Charef à accepter la libération d'Abid « Abid sera cédé au club le plus offrant » Actuellement, la valeur d'Abid sur le marché des transferts se situe à 400 000 Euros, soit 5 milliards de centimes en monnaie algérienne. L'ES Tunis, qui désire renforcer ses rangs par le recrutement du jeune attaquant international de l'USMH, est, selon nos sources prête à négocier. Le club portugais du Sporting de Braga serait aussi intéressé par les services de l'attaquant harrachi. Il est donc clair que la direction du club, en bute à un problème financier, est contrainte de céder son joueur au club le plus offrant. Ce club n'est autre que le CS Sfax qui a racheté officiellement la lettre de libération du joueur. son transfert, une obligation Le budget prévisionnel de l'USMH cette prochaine saison tourne autour de 1è milliards de centimes. Mais apparemment, les dépenses prévues avoisinent les 19 milliards. Donc cela ne suffira pas pour boucler la saison. Du moins c'est ce que nous laissé entendre un membre influent dans la direction de l'USMH. Le transfert d'Abid devient une obligation. Si cela se concrétise, l'USMH devra bénéficier de la bagatelle de cinq milliards de centimes. Cette somme permettra à la direction du club harrachi de respirer un peu. Le président Mana, qui a déjà donné son accord au joueur, est dans l'attente de l'accord de Charef qui campe sur sa position de ne pas libérer son joueur.