Le 4e joueur algérien à solliciter Dr Chalabi Sorti en boitant au milieu de la deuxième mi-temps du match de Championship entre Blackpool et Doncaster lundi passé, Hameur Bouazza souffre apparemment d'une blessure à l'aine. Les médecins du club anglais ont essayé de le remettre sur pied, mais il n'a pas été retenu pour le match important que son équipe doit disputer ce samedi face au leader du championnat de deuxième division anglaise, Newcastle. Cela démontre bien que sa blessure exige des soins particuliers et intensifs. Vraisemblablement, c'est à Doha, capitale du Qatar, que l'international algérien ira se soigner. Il a, en effet, été aperçu hier soir à l'aéroport Roissy Charles-de-Gaulle par des passagers algériens présents sur place, alors qu'il s'apprêtait à embarquer sur un vol long courrier à destination de Doha. Le 4e joueur algérien à solliciter Dr Chalabi Ainsi, après Madjid Bougherra, Nadir Belhadj (tous deux rentrés entre-temps) et Mourad Meghni (qui doit terminer ses soins ce lundi), c'est le quatrième joueur algérien en moins d'un moi à se déplacer au centre médical Aspitar de Doha pour un traitement rapide et efficace, surtout qu'il ne reste qu'un mois avant le début du premier stage compétitif pour la Coupe du monde. Il se remettra aux bons soins du Dr Hakim Chalabi, un médecin dont les anciens «malades» ont loué les mérites, avec l'espoir de soigner définitivement sa blessure et de revenir vite sur les terrains. Comme il entretient de très bons rapports avec Bougherra et Belhadj, ces derniers ont dû l'encourager à aller se soigner là-bas. Une semaine de soins au minimum On ignore la durée du traitement que Bouazza devra subir à Doha. Mais il est clair que s'il compte faire un si long déplacement, c'est qu'il y passera au moins une semaine. C'est d'ailleurs le minimum pour un programme de soins cohérent. Tout dépendra de la nature de sa blessure et du traitement que lui prescrira Dr Chalabi. On peut être certain, au moins, que tout sera fait pour que Bouazza soit pris en charge de manière efficace. Le témoignage fait par Nadir Belhadj dans nos colonnes sur la qualité des installations et des équipements du centre Aspitar conforte l'idée qu'il bénéficiera de soins de qualité.