Pour le coach du CSC Abdelkader Amrani, les choses sont claires et que seule la victoire compte : «J'ai discuté avec les joueurs et ils sont conscients de la tâche qui les attend face au MCO, une équipe redoutable en dehors de ses bases. Mais je fais confiance à mes poulains qui sont capables de battre n'importe quelle équipe», et de conclure : «Ils ont prouvé qu'ils ont une forte personnalité, comme ce fut le cas face à l'USMA. J'espère qu'ils seront au rendez-vous et répondront présents face aux Oranais, pour empocher les trois points et consolider ce fauteuil de leader et garder cette bonne dynamique. On doit battre le MCO si on veut vraiment terminer cette phase aller en force.» «On compte sur le soutien des Sanafir, pour atteindre nos objectifs» Abdelkader Amrani a lancé un appel aux supporters pour venir en grand nombre et donner un coup de pouce aux coéquipiers de Mohamed Amine Abid. «On sait que les Sanafir sont notre force et on veut qu'ils soient plus nombreux pour aider les joueurs à se transcender face au MCO, pour empocher les points qui seront mis en jeu. On sait bien qu'avec la présence des Sanafir, ce sera difficile à notre adversaire de nous battre ou de nous tenir en échec. On compte sur l'apport du public constantinois, pour atteindre nos objectifs. Inch'Allah, les joueurs seront au rendez-vous et ne vont pas décevoir les milliers de Sanafir attendus ce vendredi à Hamlaoui.» «Le report du match contre la JSK ne nous arrange pas» En conclusion, le driver des Sanafir, Abdelkader Amrani, se dit outré et très en colère, suite à la décision de la LFP de reporter le match de la 13e journée au 1e décembre. «Ce n'est pas normal ce qui se passe dans notre championnat. A chaque fois, on nous reporte des matchs, comme c'est le cas face à la JSK qui est reporté au 1er décembre. On aurait souhaité jouer la semaine prochaine notre match face à la JSK, mais on sera obligés de rester deux semaines pour reprendre du service en compétition officielle. Donc on doit trouver une solution en programmant un mini stage pour combler cette trêve.»