Comme nous l'avions indiqué, l'entraîneur argentin du Chili, Marcello Bielsa, figure dans la liste des coachs susceptibles de driver la sélection algérienne. Comme nous l'avions indiqué, l'entraîneur argentin du Chili, Marcello Bielsa, figure dans la liste des coachs susceptibles de driver la sélection algérienne. Cet intérêt révélé par Le Buteur dans son édition d'hier a été confirmé par la presse chilienne. En effet, plusieurs quotidiens au Chili ont consacré, hier, de larges espaces de leurs rubriques sportives pour ces contacts entrepris par les responsables de la FAF avec Bielsa. Le Mexique serait aussi en lice Si quelques quotidiens ont hésité à se prononcer sur les nations qui sont entrées en lice pour bénéficier des services et de l'expérience de ce technicien aux compétences avérées, le journal La Estrella a ouvertement annoncé les sélections les plus intéressées par Bielsa. «Des équipes mondialistes, éliminées de la Coupe du monde, à l'instar de l'Algérie et du Mexique, ont manifesté leur vœu d'engager Marcello Bielsa», écrivait le journaliste de La Estrella. Ce journal a ajouté que Bielsa serait plutôt proche du Mexique où le problème de la langue, facteur important dans la communication, ne se posera pas. Bielsa touchait 600 000 euros par an Un autre facteur joue en faveur du Mexique : l'aspect financier. Le Mexique, qui versait la bagatelle de 1,2 million d'euros par an à l'ex-coach Javier Aguirre, serait plus nanti que l'Algérie dans ce domaine. Ainsi, Bielsa, qui touchait 600 000 euros par saison sportive au Chili, serait plus tenté de revoir son salaire à la hausse en optant pour le Mexique. Les Chiliens s'opposent à son départ Si le gouvernement chilien s'est opposé à augmenter le salaire de Bielsa, qui avait demandé de revoir ses énumérations à la hausse, il semble que les supporters ne sont pas de cet avis. Ainsi, reconnaissant le travail accompli par ce technicien argentin, le public chilien demande son maintien coûte que coûte à la barre technique : «Bielsa, ne nous quitte pas !», scandaient les inconditionnels de la Roja.
