"Al Sadd Al Qatari a réussi à battre dans la douleur (2 à 1), le club de Messimir (D2 du championnat), pour le compte de la première journée du groupe 3 de la Coupe Sheikh Jassam." Al Sadd Al Qatari a réussi à battre dans la douleur (2 à 1), le club de Messimir (D2 du championnat), pour le compte de la première journée du groupe 3 de la Coupe Sheikh Jassam. Cette compétition précède le démarrage du championnat du Qatar. La rencontre n'avait pas atteint les sommets, en raison d'un taux élevé d'humidité qui sévit actuellement dans le pays. En plus, ce match se jouait au début de la saison. L'entame du championnat est souvent assez difficile, pour des raisons évidentes, comme le manque de compétition ou les conséquences d'un travail foncier très dur durant l'été. La première mi-temps de la rencontre s'est terminée en faveur du club de la D2, sur un score d'un but à zéro. Au début de la seconde période, le coach du Sadd procède à des changements, parmi lesquels la rentrée de Nadir Belhadj, l'international algérien. Ce dernier a donné du rythme au côté gauche de son équipe par ses incessantes montées pour donner des ballons dans le périmètre de réparation à ses attaquants. Al Sadd arrivera à égaliser avant de rajouter un deuxième but dans le temps additionnels qui permet à l'équipe de Belhadj de prendre trois points précieux, pour la suite dans cette compétition. L'absence de Belhadj dans le onze rentrant nous intrigue un peu. Le latéral gauche de l'Equipe nationale n'est pas arrivé dans le championnat qatari en provenance d'un championnat inconnu. La rentrée très rapidement en seconde période de Nadir Belhadj laisse pense que son entraîneur voulait qu'Al Sadd revienne très rapidement dans le match. Il ne s'attendait probablement pas à rencontrer un adversaire qui compliquerait la tâche à son équipe, d'autant plus que Messimir évolue, on l'a déjà dit, en Division 2. On ne peut pas imaginer que l'ancien joueur de Portsmouth ait besoin de temps pour s'adapter à son équipe ou à son système de jeu. Ce que l'on sait par contre, c'est qu'après le transfert de l'international algérien, beaucoup d'encre avait coulé sur les vraies raisons de son transfert au Qatar. Belhadj aurait mis fin aux spéculations en déclarant qu'aucun club européen n'avait voulu racheter son contrat