Décidément rien ne va plus dans cette équipe du CRT où l'ambiguïté, la confusion et le flou règnent dans ce club cher au regretté Omar Oucief. Décidément rien ne va plus dans cette équipe du CRT où l'ambiguïté, la confusion et le flou règnent dans ce club cher au regretté Omar Oucief dit "Sikki". Après le départ du coach, Nasreddine Drid, à la suite du nul imposé par le NAHD, lors de la 12e journée, et la désignation du staff local composé de Benmechta et Bencheriet qui ont managé l'équipe à Oran pour affronter l'équipe de l'ASMO, d'où l'équipe est revenue avec un revers de 4 buts à 1, voilà que l'ex-portier des Verts fait son come-back à la tête des Rouge et Blanc à la demande des dirigeants, ce qui contraint le staff technique en place, Benmechta et Bencheriet, à se retirer en douceur, créant ainsi une surprise de taille dans la maison du CRT. Tout le monde n'arrive pas à expliquer cette valse d'entraîneurs qui ne finit pas. En trois mois de compétition, le CRT a consommé une dizaine d'entraîneurs, du jamais vu dans les annales du football national et même mondial ! Comment les joueurs peuvent-ils se familiariser avec un entraîneur qui ne reste que l'espace d'une quinzaine de jours ou peut-être moins, quelles consignes doivent-ils suivre, celles du partant ou du nouveau, un vrai imbroglio pour un club censé être professionnel ! La direction a une part de responsabilité dans ce qui arrive au club du fait qu'elle n'a pas su faire confiance à un seul entraîneur pour driver l'équipe. Elle avait entre les mains plusieurs grands noms, à l'image des Bensaoula, Drid, Kioua, Farradji, Benmechta, Bencheriet, Chikho, Mahrouz, Kebdani et la liste est encore longue. Les inconditionnels du CRT souhaitent que cette trêve hivernale apporte un peu de stabilité à l'équipe et du coup un peu de moyens financiers, car c'est le vrai problème dont souffre ce club. Les joueurs malgré toute leur patience attendent toujours leurs dus. Devant les caisses vides du club et surtout l'absence de sponsors, c'est un vrai casse-tête pour le président Baki Larbi qui se trouve coincé entre l'absence de moyens financiers et les mauvais résultats que ne cessent d'enregistrer les coéquipiers de Zitouni depuis le début de ce challenge. Sur 39 points possibles, les jeunes du CRT n'ont récolté que 8 maigres points pourtant ils ont évolué huit fois chez eux, voilà qui en dit long sur le parcours catastrophique de l'équipe du CRT qui, faut-il le souligner, jouait l'année dernière le titre de l'accession...