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Ghezzal se livre au Buteur : «J'attends la liste de Benchikha avec impatience»
Publié dans Le Buteur le 22 - 01 - 2011


«Je n'en peux plus d'être loin des Verts»
Discret depuis sa non sélection à l'occasion de la rencontre face au Luxembourg, Abdelkader Ghezzal, qui sera bientôt de retour sur les terrains, est sorti de sa réserve pour dire ses vérités concernant son club Bari, l'Algérie. Il nous parlera aussi des critiques dont il a fait l'objet ou encore de la carrière de son frère. L'international algérien n'élude aucune question.
Abdelkader, comment allez-vous et où en êtes- vous concernant votre blessure ?
Je vais beaucoup mieux, car ma blessure est en fin de guérison. Je suis en train de retaper dans le ballon et j'effectue même des exercices. Vous savez, je n'avais jamais contracté une aussi méchante blessure.
Quelle était la nature exacte de votre blessure et comment avez-vous vécu cette absence prolongée ainsi que la situation délicate de Bari au classement ?
J'ai eu une déchirure à l'adducteur. J'avais repris et, sur un mouvement, j'ai fait une rechute. J'ai forcément vécu difficilement cette période. J'arrive à Bari, le club fait un gros effort pour me recruter. Ils me mettent dans les conditions idéales. Je me blesse au bout de huit matchs, alors qu'on avait réalisé un début de saison encourageant. C'est alors que le club est entré dans une spirale négative. Et aujourd'hui, on est derniers. Le plus difficile, c'est lorsque tu vois ton équipe en difficulté et que tu ne peux pas l'aider. Cette période, je l'ai très mal vécue.
Récemment chez nos confrères de RMC, vous avez laissé entendre que vous ne fermeriez pas la porte à un retour dans le championnat de France (on parle de Lens et Bordeaux). Qu'en est-il de vos intentions ?
Partir de Bari ? Je n'en ai pas envie. Ce ne serait pas sérieux de ma part avec ce qu'ils ont misé sur moi. Tous les jours, le directeur sportif prend de mes nouvelles. Et ça me fait plaisir. J'ai envie de leur rendre ce qu'on m'a donné ici. Je tiens à leur rendre tout ce qu'ils ont fait pour moi. Maintenant, il est clair que si des propositions me viennent de France, je ne fermerai pas la porte.
Mais les choses ne sont pas aussi simples, car je viens d'arriver à Bari où j'ai signé pour quatre ans. Il y a aussi mon club qui décide. C'est une situation que je dois évoquer avec mon agent.
Vous avez connu un début de saison compliqué avec votre club, suivi d'une non sélection avec les Verts contre le Luxembourg, alors que vous étiez un des joueurs clés lors des éliminatoires CAN/Mondial 2010. Comment avez-vous vécu cette mise à l'écart ?
J'étais déçu, un peu énervé, car je suis un compétiteur et je ne peux pas me satisfaire de ça. Après, il faut respecter les choix et les nouvelles idées du sélectionneur. Ma déception a été atténuée par le fait que je me sois blessé un jour avant la publication de la liste. C'est dire que n'aurais pas été opérationnel.
Mais il est sûr que lorsque tu es là depuis deux ans et que tu as traversé des moments difficiles, mais aussi de très belles choses comme la qualification au Mondial ou la demi-finale de la CAN, tu ne peux qu'être déçu !
Avez-vous payé les pots cassés en raison de la débâcle de Bangui (2-0) ? Et comment expliquez-vous cette défaite ?
Non, je ne le pense pas. Et puis, ce n'est pas à moi le joueur de le dire, c'est à l'entraîneur. Après, lui a tiré des conclusions et je n'ai pas été sélectionné. Je respecte son choix. Si je paye pour cette défaite, c'est dur à avaler, car j'ai beaucoup donné ces deux dernières années pour mon pays. Sur ce match, je pense qu'on est tous passés à côté. Ce fut une faillite collective. Entre la chaleur et l'humidité, ce n'est pas toujours simple quand tu débarques dans une zone tempérée et que tu as 48 heures pour t'adapter. On est aussi, désormais, attendus au tournant. Il ne faut pas non plus oublier d'où revient le football algérien. On n'est plus vu comme une petite nation. Le plus dur commence et lorsque tu joues des équipes comme la Centrafrique, tu es vu comme un gros poisson. Cela devient encore plus dur. A nous de réagir !
Des rumeurs laissent penser que les joueurs viennent en Equipe nationale, comme si c'était une colonie de vacances. Qu'en pensez-vous ?
(Irrité…) Les colonies de vacances ! Le penser, c'est déjà dur. On est les premiers à vouloir rejoindre l'Equipe nationale. Et quand on n'est pas pris, croyez-moi qu'on est même très énervés.
Je ne connais aucune nation au monde où les joueurs vont en sélection avec l'idée de passer des vacances. On est des compétiteurs avant tout. L'Equipe nationale, c'est sacré ! Mais pour recadrer le débat, je pense surtout qu'on a eu deux ans magnifiques, et là, on rencontre des difficultés. J'estime que c'est normal quelque part. L'effectif a évolué et nous avons pas mal de nouveaux joueurs qui ont besoin de s'adapter aux réalités africaines. Et c'est aussi pour ça que les choses devraient rentrer dans l'ordre progressivement.
L'arrivée d'un nouveau sélectionneur, ses méthodes, son discours, comment les avez-vous perçus ?
J'ai bien aimé son discours, j'ai senti une forte motivation et une envie de remporter des victoires. Notamment son ambition d'améliorer notre organisation offensive qui est peut-être notre chantier le plus important. Après le match face à la Centrafrique, on est partis voir le sélectionneur pour lui dire qu'on était désolés de cette défaite et que ça n'avait rien à voir avec son arrivée. D'autant qu'on a aimé sa façon de travailler, on a fait de bonnes séances et ça a bien bossé.
Est-ce que le sélectionneur vous a appelé depuis le match de Bangui en Centrafrique ?
Non, je ne l'ai pas eu. Le président de la Fédération, M. Raouraoua, m'a appelé plusieurs fois pour s'enquérir de mon état de santé. Et j'ai vraiment apprécié ses appels. Maintenant, il est clair que j'attends avec impatience la prochaine liste. L'Equipe nationale est mon objectif et le restera. Je suis impatient d'y rejouer. Plus globalement, je meurs d'envie de rejouer, je n'en peux plus, il faut que je rechausse les crampons au plus vite (entretien réalisé le 11 janvier). Ça me manque !
Et vos coéquipiers en sélection…
(Enthousiaste…) Oui, bien sûr. J'ai eu Karim Ziani ou Madjid Bougherra par exemple. On est une vraie famille, surtout lorsque tu as fait deux ans formidables ensemble. Il y a un lien fort. Quand l'un de nous est blessé ou en difficulté, on se donne des nouvelles et on s'encourage. L'Egypte, Khartoum et la CAN, on a vécu des choses très fortes ensemble.
Est-ce que c'est difficile de repartir après tout ça ?
Oui, c'est clair. En l'espace d'un an, on a pratiquement tout vécu. De novembre à juin, on a eu un condensé très important de ce que peut vivre un joueur de football dans sa carrière. Et quelque part, on l'a un peu payé lors du début de cette phase de qualification à la CAN-2012. Il faut repartir en conquérants, et c'est parfois dur de laisser les bons terrains du Mondial pour des terrains… (rires) d'Afrique.
Lors de la dernière CAN en Angola, Claude Leroy avait été impressionné par votre abattage et votre abnégation sur le front de l'attaque. Cependant, l'opinion publique avait retenu plutôt le fait que vous n'aviez pas marqué. Etes-vous trop généreux ou alors pas assez égoïste ?
Les mots de Claude Leroy m'ont fait plaisir, car c'est quelqu'un qui connaît bien le football. Me dépenser, courir, mouiller le maillot, c'est Moi ! Je l'assume et c'est mon profil. Je préfère ça que de tricher. Il me faudra plutôt penser à marquer peut-être un peu plus de buts. Au fond, ça ne me conviendrait pas. Je ne sais pas le faire. Ma générosité, je crois que c'est surtout une grosse qualité. Parfois, je me dis que je vais m'économiser, mais c'est plus fort que moi, je n'y arrive pas. Et après, si je dois faire plus d'efforts pour qu'en profitent Djebbour, Bougherra ou Anthar et que ça nous offre une qualification au Mondial, je l'accepte et ça me va très bien. J'ai toujours été pour le collectif, j'ai même joué latéral droit en Equipe nationale. Dans l'absolu, je préfère jouer une quarantaine de matchs entre mon club et ma sélection nationale, que moins jouer et marquer plus…
En Algérie, vous êtes considéré comme un attaquant de pointe. Pourtant, vous marquez peu en sélection (24 sélections pour 3 buts). Etes-vous réellement ce qu'on appelle un buteur ou alors êtes-vous prisonnier d'un rôle qui ne vous convient pas ?
Attaquant de pointe, je peux le faire, et je l'ai fait en Coupe d'Afrique des Nations en Angola. Disons que là où je me sens le plus à l'aise, c'est davantage derrière les attaquants ou alors en soutien (poste de neuf et demi dans le football moderne). C'est d'autant plus vrai que je ne marque plus, car je viens lancé. L'année dernière à Sienne, j'avais d'abord commencé sur les côtés. Quand il y a eu le changement de coach, on a discuté longuement avec Marco Baroni qui m'a dit qu'il me voyait plus en deuxième attaquant, car avec ma percussion, j'apporte plus. C'est d'ailleurs de cette manière que j'ai réussi à marquer mes doublés contre Bari et la Juventus. J'avais aussi offert pas mal de passes décisives à Maccarone. Un peu plus en retrait, c'est clairement ma position préférée.
Cette envie signifierait également que vous seriez exposé à une plus grande concurrence au sein des Verts…
C'est clair. Cela voudrait dire peut-être une concurrence plus forte. Mais pour les joueurs professionnels, elle est toujours présente, que ce soit en club ou en sélection. On vit avec ce paramètre constamment.
Je n'ai jamais eu peur de la concurrence et pourtant, j'ai souvent changé de club avec aucune garantie. L'émulation, c'est ce qui te fait avancer et progresser. En général, je travaille davantage, je me mets à la disposition de l'équipe et je montre ce que je sais faire. Les gens ne le savent peut-être pas, mais en Italie, le championnat est très dur, et si tu n'es pas un bosseur, tu ne joues pas.
L'Algérie marque très peu (7 buts en 16 matchs en 2010). A l'instar de votre coéquipier Rafik Djebbour, pensez-vous que c'est davantage un souci d'animation offensive que celui d'un problème de calibre des joueurs présents ?
Je partage son sentiment, car j'ai aussi joué souvent esseulé en attaque, notamment lors de la CAN. Quand tu es seul et que tu as quatre défenseurs autour de toi, c'est difficile. Maintenant pour le problème d'attaquant, il faut rappeler que Rafik a marqué régulièrement avec l'AEK Athènes. Même moi, je l'ai fait la saison dernière et j'ai mis des buts contre le Milan et la Juventus. Cela prouve que je peux marquer. Maintenant, il ne faut pas oublier que notre équipe a beaucoup changé, il faut un certain temps d'adaptation et malheureusement, on n'est pas souvent en regroupement. Plus qu'un CV, je pense que c'est une question d'organisation de jeu. La preuve, on a tout essayé : des anciens ou des nouveaux, et ça n'a pas débloqué les choses.
Offensive lors des années 80, l'Algérie serait désormais une équipe à vocation défensive, serait-ce un changement culturel ?
Je n'irai pas jusque-là. Mais pour rappel, on s'est qualifiés au Mondial, sans marquer non plus énormément de buts et c'était souvent sur des coups de pied arrêtés. On a brillé par une solidité défensive extraordinaire. Et bien défendre, c'est aussi à mettre à l'actif des attaquants, car ça fait partie de notre boulot. On profite aussi de gabarits puissants, comme ceux de Bougherra, Halliche, Yahia, Yebda ou moi-même. Et c'est là-dessus qu'on a su faire la différence, notamment contre l'Egypte (3-1 à Blida) et la Côte d'Ivoire (3- 2 a.p. à Cabinda), qui reste nos matchs références de ces deux dernières années.
Justement en parlant de gros matchs, celui du Maroc, prévu le 25 mars, commence à pointer le bout du nez. Comment le voyez-vous ?
Avant d'en parler, je pense que le match test contre la Tunisie sera hyper important. Car ce sont des équipes dont le jeu se rapproche beaucoup. Concernant le Maroc, ils ont récemment démontré qu'ils n'étaient pas là pour rigoler. Ils ont eu un trou d'air, mais ils sont clairement de retour. Cependant, j'imagine ce match moins difficile que celui de la Centrafrique, car nous avons des profils similaires, avec beaucoup de joueurs qui évoluent en Europe. On a un style footballistique très proche et ça risque de jouer au ballon. Et puis, on jouera au pays, c'est plus confortable au niveau du climat. Sur le match, ce sera très dur, mais c'est faisable. On l'a fait contre l'Egypte et contre d'autres équipes, et en même temps, on ne va pas se le cacher : on n'a plus le choix !
Comme beaucoup d'Algériens nés en France, vous avez sûrement des copains marocains, est-ce que ça chambre déjà un peu avant le match ?
(Rires…) C'est surtout avec Hocine Kharja qui joue au Genoa qu'on se nargue. On a joué ensemble à Sienne et on s'envoie des SMS pour en parler.
Que vous dites-vous ?
Je lui dis : «T'inquiète pas, j'arrive !»
Avec du recul et sept mois après, comment analysez-vous votre Mondial et notamment cette fameuse expulsion contre la Slovénie ?
Ce qui ressort, c'est surtout la terrible déception de ne pas avoir pu m'exprimer. A cause de cela, j'ai d'ailleurs raté le meilleur match, celui face aux Anglais. Mais je me suis dit : qu'est-ce qui est le plus important : Khartoum ou l'Angleterre ? Khartoum restera plus fort !
Cette main contre les Slovènes, est-ce qu'elle vous colle à la peau, au point qu'elle puisse expliquer aussi une éventuelle mise à l'écart ?
Non, je ne pense pas que ça puisse remettre en cause mon engagement et mon implication sur les deux dernières années. En arriver à raisonner de la sorte, ça me paraît trop gros. Et je ne le soupçonne pas une seule seconde. Ce qui est vrai, c'est que j'ai pénalisé mon équipe et que je me gâche deux ans de travail et de souffrance en Afrique à cause de cette faute.
Votre frère Rachid joue avec l'équipe réserve de Lyon, il a 18 ans, et pourrait, si sa progression le lui permet, un jour jouer avec vous en équipe d'Algérie. Vous y pensez ?
J'aimerais bien que àa se réalise, ça me ferait plaisir. Mais il est inutile de lui mettre cette pression. Il est jeune, mais il a signé un contrat élite (stagiaire pro) avec Lyon. C'est une bonne chose, et à son âge, il sait déjà ce qu'il veut. Il souhaite devenir joueur professionnel. Alors que j'avais son âge, je n'avais pas eu cette réflexion. Il est intelligent et ne me demande pas tant de conseils que cela. Je lui dis juste d'être sérieux et de bosser. Quand tu joues en club et que tu enchaînes de bonnes prestations, les choses viennent toutes seules.
S'il vous rejoint un jour, en Italie, il pourra peut-être goûter à la nouvelle spécialité locale, les matchs à 12h30 ?
(Hilare…) C'est trop dur. Et le plus dur, c'est de manger des pâtes à 9 heures du matin. Franchement, la dernière fois avant le match contre Catane, je n'en pouvais plus…


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