Une nouvelle qui ne déplairait pas aux joueurs qui ont émis le vœu de quitter le club, mais qui sont toujours sous contrat. Mais, il faut aller doucement, rien n'est acquis. Le conflit né à la suite du départ de Hezil à la JSK risque de faire boule de neige. Une nouvelle qui ne déplairait pas aux joueurs qui ont émis le vœu de quitter le club, mais qui sont toujours sous contrat. Mais, il faut aller doucement, rien n'est acquis. Le conflit né à la suite du départ de Hezil à la JSK risque de faire boule de neige. Les membres de la société sportive et à leur tête Zedam crient haut et fort que l'engagement de Hezil sera annulé par la Ligue nationale. « Les seuls habilités à signer les contrats d'engagements et les départs sont Ferhat et moi, respectivement, président du conseil d'administration et directeur général de la société », explique Zedam. Il se trouve, aussi, que les contrats signés par les joueurs en début de saison ont été paraphés par le président du CSA. On se rappelle que la Ligue nationale a mis sur son site un contrat à une feuille unique, libre aux clubs de la télécharger ou de l'imprimer. Les anciens contrats ont été remplacés par des nouveaux. La Ligue nationale avait accepté les contrats du MSPB signés par le président du CSA. Elle devrait accepter les documents de libération signés par le président du CSA. Pour quelle raison l'a-t-elle fait ? En principe disent les observateurs sportifs mais surtout la loi, c'était à la société sportive de gérer les intérêts des joueurs et du club. Ferhat et Zedam ne l'ont pas fait. On ne sait pas pourquoi, ils n'ont pas signé les contrats. Par ignorance ? Ou étaient-ils occupés par leurs affaires en ce temps-là ? On sait que Ferhat a décidé de jeter l'éponge il y a plusieurs mois. Si comme le réclameraient des membres de la SSPA, parmi ses membres on retrouve les Bitam, Maala, Zidani, Benflis, ce dernier ne fait pas partie du CSA. On retrouve Ferhat aussi dans la SSPA, puisque même s'il démissionne de son poste de PDG, il reste membre actionnaire de la société sportive. Certains membres de cette SSPA veulent annuler les contrats des joueurs signés en début de saison. Les joueurs ne se retrouveraient-ils pas libres de tout engagement ? Forcément, peut-on penser. Zidani refuserait d'intégrer les biens du CSA dans la SSPA Si l'on croit l'entourage du président du CSA, Messaoud Zidani refuserait d'intégrer les biens du club sportif amateur dans la société sportive du Mouloudia de Batna. Ce qui veut dire que le Majestic estimé par le commissaire aux comptes à 11 milliards ne viendra pas augmenter le capital de la SSPA qui, à son ouverture, n'était qu'à 100 millions ce centimes consommé en juillet 2010. Ce qui sous-entend que la SSPA ne devrait pas exister au jour d'aujourd'hui. Question que nous avons posée à Zidani il y a quelques jours. Il avait acquiescé. Le président aurait demandé à ce que tout le monde mette la main à la poche Ainsi, le président du CSA ne veut pas entendre parler de l'intégration des biens du CSA dans la société sportive. Il aurait mis au défi tous les membres de la SSPA de mettre la main dans la poche. Zidani déclare à qui veut l'entendre qu'il est prêt à mettre de l'argent de sa poche pour augmenter le capital de la société. Le maire et le DJS pourront-ils régler le problème entre les membres de la société ? La situation du MSPB est à un stade de blocage incroyable. Elle l'était, devrions-nous dire, jusqu'à mercredi dans la matinée. Parce qu'en fin d'après-midi, une rencontre entre le premier responsable élu de la ville et le DJS d'un côté et les membres de la SSPA et du CSA du MSPB de l'autre devait se tenir. On est passé de l'annulation de l'assemblée générale du CSA vers une rencontre de bons offices dirigée par Melaksou, le maire qui se trouve par la même occasion un supporter du MSPB, et par Iltache, le Directeur de la jeunesse, des sports et des loisirs à Batna. Une issue était à espérer pour permettre au club de penser enfin à autre chose.