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­­Dani Alvès : «A Montpellier, j'avais l'impression de jouer en Algérie»
Publié dans Le Buteur le 09 - 07 - 2011


«J'espère un jour rejouer contre les Algériens»
«Un nouveau Zidane est dans l'équipe du Brésil»
Son statut de star mondiale n'empêche pas Dani Alvès de répondre favorablement mais dans la mesure du possible aux nombreuses sollicitations de la presse. Selon les confrères brésiliens, c'est le joueur le plus disponible avec les médias. Parfois et pour ne pas faire de jaloux, il demande au responsable de presse de la Confédération brésilienne de football (CBF) de ramener deux voire trois journalistes en même temps. C'est alors qu'on s'est retrouvé avec l'envoyé spécial de la radio du quotidien espagnol El Mundo Deportivo en face du meilleur arrière du monde à l'heure actuelle. A ce moment-là et juste derrière nous, les autres journalistes posaient leurs questions en conférence de presse à Pato et à Thiago Silva sur le match du Paraguay prévu hier à 16h (heure locale) à Cordoba. L'entretien a duré une vingtaine de minutes, un privilège qu'on vous convie à partager avec nous.
On va commencer par un sujet capillaire. Qui vous a fait cette coupe avec cette couleur blonde ?
J'ai fait cette coupe chez moi au Brésil avant d'aller au stage de la Seleçao. Il a fallu beaucoup de travail au coiffeur pour la réussir, mais c'était une dette que je devais d'honorer.
Une dette envers qui ?
Avant la finale de la Ligue des champions, j'ai fait la promesse à mes coéquipiers du Barça de me teindre les cheveux en blond pour jouer la Copa América en cas de victoire à Wembley et j'ai tenu ma promesse. Je suis le seul apparemment car d'autres joueurs ont fait des promesses qu'ils n'ont pas tenues. On m'a eu, mais cette coupe ne va durer longtemps parce qu'elle ne me plaît pas. En fait, j'ai beaucoup de mal à me coiffer, je préfère les coupes plus simples.
Parlons maintenant football et Copa América. Tous les favoris ont entamé timidement la compétition avec notamment les nuls du Brésil et de l'Argentine. Comment expliquez-vous ces deux surprises ?
Je ne vais pas être original en vous disant qu'il n'y a plus d'équipes fortes et d'autres moins fortes. Individuellement, le Brésil et l'Argentine sont peut-être un peu au-dessus, mais collectivement ça s'équilibre de plus en plus depuis quelques années. Dire que ces deux résultats sont des surprises, c'est manquer de respect à la Bolivie et au Venezuela. Ces sélections et à l'image de toutes les équipes sont en train de travailler, de faire des efforts. Sur le terrain, ils ont su fermer les espaces et lutter jusqu'au bout. La meilleure preuve de cet équilibre, ce sont les résultats étriqués qui ont marqué ce début de compétition. Au Brésil, on n'a pas l'habitude de s'affoler après un match nul, on va aborder les matchs tranquillement avec l'objectif de gagner cette Copa América.
C'est votre première grande compétition en tant que titulaire. Le fait de détrôner un joueur comme Maicon vous donne-t-il plus de responsabilités ?
C'est peut-être égoïste de le dire, mais je suis là pour jouer et je fais tout à l'entraînement pour être toujours titulaire. Quand Maicon constituait la première option de l'entraîneur, je faisais profil bas et j'attendais mon heure. Mon heure a sonné et je ferai tout pour donner raison à l'entraîneur. Toutefois, la responsabilité est la même que je sois sur le terrain ou sur le banc. Nous sommes en train de défendre un maillot prestigieux et le fait de le porter est en soit un grand poids et une énorme responsabilité. Tous les joueurs qui sont ici sentent la même fierté en portant le maillot du Brésil, il y a tellement de bons joueurs au Brésil qui rêveraient d'être à notre place. C'est pour cela que je vous disais tout à l'heure qu'il ne fallait pas perdre la tête parce qu'on a fait un match nul. On doit garder notre calme, qu'on gagne ou qu'on perde.
Espérez-vous conserver ce statut de titulaire jusqu'à la prochaine Coupe du monde au Brésil ?
C'est vrai que je n'ai pas envie de perdre ce nouveau statut, mais la Coupe du monde, c'est dans trois ans et je n'ai pas envie de me prendre la tête dès maintenant. Au jour d'aujourd'hui, l'objectif, c'est la Copa América.
Le fait qu'on vous exige tout le temps de tout gagner et avec la manière ne vous met-il pas une pression supplémentaire ?
Je vous ai dit que porter le maillot du Brésil est une lourde responsabilité. Les gens au Brésil pensent plus avec le cœur et croient que le fait d'entrer sur le terrain avec le maillot du Brésil nous permet de gagner et de faire le spectacle. C'est pour ça qu'il faut qu'il y ait quelqu'un qui pense avec sa tête et ce quelqu'un ce sont les joueurs et le staff technique. Nous savons tous qu'on doit gagner la Copa América, mais nous savons tous qu'il nous faut être très forts pour la gagner.
On ne vous a pas vu très offensif face au Venezuela, du moins pas comme au Barça. Etaient-ce les consignes de l'entraîneur ?
C'est juste une impression. Ce sont les doutes qui suivent un résultat négatif, des doutes qui viennent de l'extérieur, je dois préciser. Moi, j'ai eu une formation offensive et je dois participer aux actions offensives de mon équipe. Toutefois, il faut choisir le moment pour monter pour apporter le surnombre en attaque. On ne monte pas parce qu'on a envie de monter.
C'est quoi cette grande amitié avec Neymar ?
Dès son arrivée en sélection, il y a eu un feeling entre nous. Vous savez, dans une équipe il y a des joueurs avec lesquels on s'entend très bien, d'autres avec lesquels on s'entend moins bien. C'est une question de feeling comme je viens de dire. Neymar est un garçon très sympathique, je ne suis d'ailleurs pas le seul à l'apprécier, tous les joueurs l'aiment bien. Mon amitié avec Neymar va au-delà de la sélection puisque je connais désormais son papa qui est une personne très humble.
Au point de lui demander de ne pas signer au Real et de venir vous rejoindre au Barça comme paru dans la presse espagnole ?
Vous voulez mon souhait personnel ? Je veux qu'il joue au Barça parce que je sais que c'est un très grand joueur et le fait qu'il parte au Real va nous poser problème. Mais, à aucun moment, je dis bien à aucun moment je n'ai parlé avec lui de son avenir. Donc, tout ce qui a été écrit est complètement faux ! S'il m'avait demandé un conseil, c'est sûr que je lui aurais demandé de venir au Barça, mais ce n'est pas le cas. Depuis le début du stage, on ne parle que de la sélection.
Vous ne lui conseilleriez pas de rester encore une saison au Brésil pour mûrir un peu plus comme joueur ?
Non, parce qu'il est déjà assez mûr et prêt pour le grand saut dans un grand club européen. Grâce à ses qualités techniques et sa personnalité, il est prêt à 100 % à jouer en Europe.
Que pouvez-vous nous dire sur Ganso qui commence à faire parler de lui au Brésil ?
Ganso, c'est le futur Zidane du Brésil. J'ai un faible pour ce genre de joueurs comme Zidane ou Riquelme qui ne perdent jamais la tête et qui réfléchissent toujours une fraction de seconde avant les autres. Ce sont des hors catégorie. Si on lui donne un peu de temps, Ganso sera un autre hors catégorie capable comme Zidane de faire balancer un match à lui tout seul.
Est-il froid comme il en donne l'impression ?
(Il rit) Un peu oui et c'est peut-être cela qui lui permet de rester calme malgré son jeune âge. Au moment où ça bouillonne sur le terrain, lui reste zen. Oui, il est froid, mais dans le bon sens du terme.
Comprenez-vous l'impatience des supporters argentins qui exigent de Messi de jouer comme au Barça ?
Je les comprends parce que les supporters argentins sont comme les supporters brésiliens. Ils veulent que Messi soit toujours le plus fort alors que Leo évolue dans deux contextes différents avec l'Argentine et le Barça. Les pelouses ne sont pas les mêmes, les adversaires non plus puisqu'ils lui mettent souvent deux à trois joueurs au marquage. Enfin et surtout, aucune sélection au monde ne peut avoir les joueurs du Barça qui, en plus de leurs qualités, jouent pour la plupart ensemble depuis très longtemps. Malgré tous ses aléas et sur ce que j'ai vu à la télé, il a été le meilleur face à la Bolivie.
Etes-vous capable de comparer Messi et Neymar ?
Au jour d'aujourd'hui, le meilleur joueur au monde, c'est Messi. Neymar vient juste derrière, mais il a tout pour faire comme Messi.
Vous avez mis du temps à trouver un accord avec les dirigeants barcelonais pour rénover. L'idée de quitter le Barça vous a-t-elle effleuré l'esprit ?
Dans ma tête c'était clair : soit je prolongeais mon contrat soit j'honorais la saison qui me restait. Finalement, on a trouvait un accord et je suis resté. En tout cas, je ne quitterai ce club que le jour où on me mettrait dehors.
Pour venir au Barça, vous avez presque forcé la main aux dirigeants de votre ancien club le FC Séville. Pensez-vous que Cesc Fabregas devrait faire la même chose ?
C'est très important de quitter en bons termes un endroit où on a été très bien traités, mais un footballeur doit jouer là où il veut. On ne peut pas obliger un joueur de rester en sachant qu'il pourrait être malheureux. En ce qui me concerne, le train du Barça est arrivé et on me proposait une place en première classe, je n'avais pas le droit de la refuser car des occasions comme ça ne se présentent pas tous les jours. Parfois, les clubs doivent être sensibles aux appels de leurs joueurs.
C'est vrai que cet amour pour le Barça, c'est Guardiola qui vous l'a transmis ?
Oui, Guardiola sait mieux que quiconque valoriser le maillot du Barça. Je suis arrivé à dire que si Pep me demandait de sauter avec lui du troisième étage, je le ferais car je sais qu'en bas, il y aurait quelque chose de positif, sinon il n'aurait pas sauté. S'il n'avait pas réussi à faire l'unanimité autour de lui, on n'aurait pas gagné tous ces titres pendant trois années et on n'aurait pas encore envie de rester et gagner d'autres titres. On est prêts à laisser notre peau sur le terrain pour lui et il le mérite.
Vous avez quitté Séville presque de force, mais vous avez gardé quand même un bon souvenir de votre passage là-bas notamment votre amitié avec le Malien Kanouté…
Jusqu'à aujourd'hui, je suis resté en contacté avec Freddy dont les qualités sportives et humaines me marqueront à vie. Il a été mon modèle pendant mon passage à Séville et ce tatouage que vous voyez là, c'est lui qui me l'a transmis (NDLR : il nous montre l'un de ces nombreux tatouages avec l'inscription : «Il n'y a que Dieu qui peut nous juger.» ) Non, Kanouté est un exemple de tolérance et de droiture.
Avez-vous été surpris lorsqu'il avait soutenu publiquement la Palestine ?
Pas du tout car Kanouté ne supporte pas les injustices d'où quelles viennent et il avait le droit d'exprimer son opinion comme il l'a fait. En tout cas, il avait eu le soutien de beaucoup de joueurs de la Liga.
Une fois, il a dit de vous que vous avez les qualités d'un vrai numéro 10…
Oui, je le sais, mais lui il avait une grande qualité : il est l'un des rares footballeurs capables de faire basculer un match au profit de son équipe. Plusieurs fois, il nous a fait gagner des matchs à lui seul avec le FC Séville.
Que vous rappelle le match Algérie-Brésil de Montpellier ?
Un très beau souvenir parce que je faisais partie des nouveaux joueurs du Brésil. J'ai découvert des joueurs qui n'ont pas fermé le jeu et qui ont essayé notamment en première mi-temps de nous tenir tête grâce à leurs qualités techniques en jouant un peu comme nous. Cela a donné lieu à un match d'un très bon niveau technique. Mais, ce qui m'a marqué durant ce match, c'est la présence massive des supporters algériens, on n'avait pas l'impression de jouer dans un pays neutre. Des supporters qui semblaient aimer le Brésil parce qu'ils applaudissaient toutes nos belles actions. J'espère un jour pouvoir affronter l'Algérie.
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Curiosité d'Argentine Un match d'appui pour accaparer le quartier de la Boca
Beaucoup d'Algériens l'ignorent sans doute, mais les deux clubs rivaux de Buenos Aires Boca Juniors et River Plate sont issus du même quartier de la Boca, un quartier populaire de la capitale argentine. Lorsque les deux clubs commençaient à prendre de l'ampleur et à devenir populaires, ils se sont entendus pour un deal pour que l'un d'eux déménage. Ce deal consistait à organiser un match d'appui dont le vainqueur accaparera le quartier de la Boca et c'est Boca Juniors qui remportera ce match sur le score de un but à zéro.
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Maradona et Pelé n'ont jamais remporté la Copa América
Aussi surprenant que celui puisse paraître, les deux meilleurs joueurs du monde de tous les temps n'ont jamais remporté la Copa América. Pelé ne l'a disputée qu'une seule fois en 1959 et malgré ses 8 buts, le Brésil a dû se contenter de la 2e place. Maradona, lui, a joué trois phases finales en 79, en 87 et 89 sans jamais soulever le trophée.
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La maison de Tévez juste derrière l'hôtel des Brésiliens
La sélection brésilienne a pris ses quartiers au Sofitel Los Cardales dans une banlieue chic de Buenos Aires. Il se trouve que derrière cet endroit idyllique se trouve la maison de Carlos Tévez l'attaquant argentin de Manchester City, juste de l'autre côté du lac. A l'entrée de la maison de l'Apache, comme on le surnomme ici, des ballons aux couleurs ciel et blanc de l'Argentine.
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Les joueurs brésiliens ratent Argentine-Colombie à cause d'une telenovela
Durant les regroupements des footballeurs, les divertissements sont toujours les mêmes : PlayStation, jeu de cartes, navigation internet... Si pour les Algériens on peut ajouter les dominos, pour les Brésiliens, le passe-temps favori reste sans conteste les telenovelas très appréciées en Amérique du Sud. Si l'on croit le quotidien argentin Olé, les joueurs brésiliens ont même raté le match Argentine-Colombie pour ne pas perdre le fil d'une histoire amoureuse mélangée avec un problème d'héritage. Pourtant, l'Argentine tout comme la Colombie pourraient être l'adversaire de la Seleçao en quarts de finale. Explication de Neymar : «On n'a peut-être pas regardé le match, mais tous les matchs de nos adversaires éventuels ont été enregistrés et une fois qualifiés au prochain tour, on aura tout le temps de les superviser.» Bonne excuse.
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Une salle de presse pleine à craquer pour Pato
Les responsables de presse de la CBF sont sans doute les mieux organisés durant la Copa América. Ainsi, des conférences de presse avec la présence de deux à trois joueurs sont organisées presque au quotidien (sauf la veille et le jour des matchs) et les interviews personnalisées peuvent être arrangées si l'emploi du temps lui permet à répondre favorablement à tout le monde. Toutefois, les journalistes ne sont pas nombreux à chaque conférence de presse. Leur nombre diffère à la tête du client, si l'on peut s'exprimer ainsi. Pour Pato, par exemple, la salle de presse a fait le plein avec les médias du monde entier.


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