Le meneur de jeu annabi Belhadj Djillali pourrait être harrachi cette saison. Convoité depuis plusieurs semaines par les responsables de l'USMH, ces derniers ont finalement décidé de le contacter officiellement. Une discussion a déjà eu lieu avant-hier entre Laïb et le joueur. Les deux hommes se sont entretenus au téléphone. Par rapport à ce que l'on a appris, Belhadj a donné son accord de principe pour porter les couleurs de l'USMH. Reste à savoir si les deux parties trouveront un accord sur le plan financier lors des négociations qui devraient avoir lieu cet après-midi au bureau du président Laïb. L'USMAn exige 450 millions pour sa libération Ce qu'il faut dire à propos de ce contact avec Belhadj, c'est qu'il a de faibles chances qu'il aboutisse. En effet, ce joueur, qui est lié par contrat avec l'USMAn, n'a pas encore réglé le problème de sa libération. Selon une source proche du club annabi, la direction de l'USMAn n'est pas disposée à libérer son joueur sans contrepartie financière. Dans l'entourage du club, on parle de la somme de 450 millions de centimes que Menadi aurait exigée pour céder Belhadj. Si en plus on tient compte de la prime de signature du joueur, cela veut dire que le montant de ce transfert approchera le milliard de centimes. Ce qui est au-dessus des moyens du club harrachi. En d'autres termes, la conclusion du transfert de Belhadj à l'USMH est très improbable. Deux dirigeants chez Medouar Deux dirigeants de l'USMH seront demain à Chlef pour rencontrer Abdelkrim Medouar, le président de l'ASO, et le convaincre à libérer Aïssaoui pour l'USMH. Même s'ils n'ont pas réussi à le faire lors de la première rencontre avec Medouar, les responsables harrachis ne veulent pas lâcher prise. Ils gardent toujours l'espoir d'obtenir l'accord du président chélifien qui permettra à Aïssaoui de porter une nouvelle fois les couleurs de l'USMH Le MC Mekhadma accepte de libérer Benaï Le jeune attaquant Mohamed Nourredine Benaï qui vient de s'engager avec l'USMH se trouve depuis deux jours à Ouargla. Il est rentré chez lui pour rendre visite à ses parents mais aussi pour récupérer sa libération que les dirigeants du MC Mekhadma devraient lui délivrer. En effet, c'est avec l'équipe de Mekhadma que Benaï a terminé la saison, après avoir porté les couleurs du HB Chelghoum Laïd durant la phase aller. N'ayant pu s'adapter dans ce club, Benaï est retourné au MC Mekhadma, son club formateur, au mercato d'hiver. Engagé une nouvelle fois avec ce club dont les dirigeants ont dû racheter son contrat pour pouvoir le qualifier, Benaï s'est retrouvé lié au MCM jusqu'en 2010, donc soumis à libération. Cela a contraint le président de l'USMH à négocier avec les dirigeants du MCM. Selon le président harrachi, un accord a été trouvé et permettra au joueur d'être qualifié à l'USMH. L'USMH à Tunis dans dix jours C'est désormais officiel, l'USMH effectuera son stage à El Marsa (Tunisie) où l'équipe harrachie arrivera le 13 juillet prochain pour un séjour de deux semaines. El Marsa est une station balnéaire située à une vingtaine de kilomètres de la capitale tunisienne. Après avoir longtemps hésité entre plusieurs propositions émanant des deux pays voisins le Maroc et la Tunisie, les responsables de l'USMH ont finalement tranché quant à cette région touristique de l'antique Carthage. La ville d'El Marsa n'est pas seulement un site touristique. Elle possède également un merveilleux centre sportif et une grande équipe évoluant en première division. Ce centre a déjà servi dans le passé à plusieurs clubs algériens qui y ont effectué leur préparation. Charef insiste pour Aïssaoui Par ailleurs, Boualem Charef, le coach de l'USMH, qui se soucie de l'absence d'un bon meneur de jeu, a une préférence pour Aïssaoui. Il l'a d'ailleurs plusieurs fois fait savoir aux dirigeants pour les pousser à faire le maximum auprès des responsables de l'ASO et à les convaincre à leur céder le joueur. Il faut dire que les exigences financières de Medouar, à savoir 500 millions, ont quelque peu découragé les Harrachis. Ces derniers estimant que la somme exigée par Medouar trop élevée, ont, dans un premier temps, abandonné cette piste. Comme Charef insiste pour l'avoir dans son équipe, les dirigeants sont contraints de tenter encore une fois leur chance de convaincre le président chélifien.