On parle d'une clause dans son contrat Si le public tlemcénien attend avec impatience les résultats de la réunion tenue hier entre les actionnaires widadis et Rachid Meliani, le futur nouveau président du WAT, cela n'empêche pas les amoureux du club phare des Zianide de s'interroger sur la récente rumeur concernant la signature de Bennaï au CSC, malgré le refus de la direction de lui remettre sa lettre de libération. Et pour cause, le joueur est normalement sous contrat jusqu'en juin 2014. Il aurait signé au profit du CSC Annoncé un certain temps tout proche de rejoindre un club tunisien, un simple coup de pub au final, l'attaquant Nouredinne Bennaï aurait donné son accord final aux dirigeants du CSC, en paraphant même un contrat de deux ans selon quelques sources, pour évoluer chez les Sanafir, la saison prochaine. Les responsables affirment qu'il est toujours sous contrat En attendant de confirmer cette nouvelle de manière définitive, à un moment où les rumeurs font l'actualité après l'ouverture du marché des transferts, la direction intérimaire a affirmé que le joueur est toujours lié au WAT, en refusant l'hypothèse d'un arrangement à l'amiable avec l'ancien joueur de l'USMH. On parle d'une clause dans son contrat S'il faut donc attendre quelques jours avant de connaître celui qui aura le dernier mot dans cette affaire, une source bien informée nous a confié que Bennaï a bel et bien une clause dans son contrat qui lui offre la possibilité de partir librement, en cas de relégation du WAT en D2. A noter que c'est le même cas pour le milieu de terrain Djerbou qui a exigé lui aussi cette clause dans son contrat, au moment de quitter l'USMH pour venir à Tlemcen, lors du dernier mercato hivernal. Meliani est prêt à régulariser le joueur Même si Bennaï est en train de réclamer quelques mois de salaire impayés, Rachid Meliani, qui aura de fortes chances de devenir le nouveau président du WAT, est prêt à régulariser celui qui a inscrit deux buts seulement cette saison, avant de négocier sa lettre de libération avec les dirigeants du CSC, en récupérant à coup sûr une somme nettement supérieure aux dettes du joueur envers le club. Ne pas commettre la même erreur qu'avec Tiza En attendant d'appliquer cela, cette méthode est nettement plus bénéfique, que de résilier un contrat à l'amiable avec un joueur, comme c'était le cas avec le latéral gauche Amine Tiza qui a dû faire l'impasse sur quelques mois de salaire, avant de récupérer sa lettre de libération. Tout sera plus clair cette semaine En plus de Bennaï, d'autres éléments sont proches d'un départ du WAT, à l'instar de Boussehaba, Sameur ou Mebarki, sauf que l'élection d'un nouveau président pourrait changer totalement la donne, surtout si Meliani arrive à payer une grande partie des arriérés des cadres, tout en débutant l'opération recrutement, pour bâtir une grande équipe la saison prochaine.