Khettabi veut garder le contrôle de l'équipe Ça sent la démission à plein nez, l'entraineur en chef de l'ASK, Houcine Zekri, est tout près de la porte. Le dernier résultat enregistré face à l'ABM n'a fait qu'empirer la relation entre le technicien d'El Kentra et ses dirigeants, ces derniers ont pourtant prévenu Zekri qu'il n'aura plus le droit à l'erreur à l'avenir. Ces messages en forme de menaces n'ont pas eu l'effet attendu, le club a perdu à domicile deux précieux points, ce qui fait grimper le nombre des points perdus à Abed-Hamdani à cinq unités, ce qui est, semble-t-il, trop et inacceptable pour la direction. Enfin une réunion d'urgence était prévue hier entre Zekri et Khettabi, qui aurait transmis la décision a son entraineur. Les joueurs font la loi dans le vestiaire Lors du dernier match de l'ASK devant ses fans, ces derniers n'ont pas épargné l'entraineur adjoint, Terraï, et même Khettabi, alors que personne n'a osé insulter le coach en chef, Zekri, qui profite encore de la confiance du public. Mais ce soutien suffira-t-il à maintenir Zekri dans son poste ? Ce qu'il faut savoir c'est que ça va mal dans le vestiaire khroubi, ces derniers temps. Des clans se sont formés, et certains joueurs font la loi dans le groupe. En somme il y règne un climat d'hypocrisie. Certains éléments malhonnêtes sont derrière la démission de Terraï et de son copain Redjimi, et aussi le probable départ de Zekri. C'est la dure réalité du vestiaire askiste. Khettabi a du boulot pour régler ce genre de problème. On parle déjà de Bouaârata Certains agents rôdent déjà autour de Khettabi pour se faire de l'argent et se sucrer sur le dos de l'ASK, certains proposent déjà des entraineurs pour faciliter le départ de Zekri. Un nom est très présent dans l'entourage du club, celui de Rachid Bouaârata, mais connaissant le tempérament de ce dernier, il y a peu de chance de voir ce technicien à la tête de l'ASK à ce moment de la saison. Khettabi veut garder le contrôle de l'équipe Le président askite passe par une période de turbulence très délicate, lui qui ne voulait pas revivre le scénario cauchemardesque se retrouve presque dans la même situation de l'année passée. Le public monte au créneau d'un week-end à l'autre, cela n'arrange pas les affaires du président qui semble avoir perdu le contrôle de l'équipe, mais Khettabi n'a pas encore dit son dernier mot. Il veut d'abord se débarrasser de Zekri, puis il compte revoir les salaires de tout l'effectif. Deux plans de sauvetage qui peuvent provoquer le déclic dans un avenir proche.