SAB confirme son intérêt d'investir le marché bancaire algérien, à travers un communiqué publié hier. Selon Philippe Schintowski, Directeur du Développement International de SAB, «les échanges que j'ai eus avec les Directions Générales, SAB confirme son intérêt d'investir le marché bancaire algérien, à travers un communiqué publié hier. Selon Philippe Schintowski, Directeur du Développement International de SAB, «les échanges que j'ai eus avec les Directions Générales, les Directions Informatiques et Moyens de Paiements des banques algériennes ont été très intéressants et m'ont permis d'affiner notre compréhension de leurs attentes. La Banque en Algérie est à une étape importante de son développement et je souhaite vivement que le Groupe SAB puisse contribuer à cet essor». Le Groupe SAB a annoncé également son association avec un partenaire local, la société AEBS, qui «lui apporte l'appui d'ingénieurs consultants algériens pour la conduite de projets locaux, voir africains, et sa compétence locale pour le support et la maintenance du progiciel SAB», relève-t-on du même communiqué. De sa part, Haykel Ben Amara, Directeur Général d'AEBS, a souligné que son entreprise veut apporter au marché bancaire algérien «une technologie moderne et de nouveaux produits à mettre en œuvre», et d'ajouter que, il rajoute que «l'objectif d'AEBS est la création d'un pôle de compétence qui suit la restructuration et la modernisation des systèmes bancaires, tels que décrétés par le gouvernement algérien». Dans le cadre du partenariat, SAB effectuera un transfert de connaissances important à travers la formation d'ingénieurs d'AEBS et un appui soutenu lors des projets à venir. Seul éditeur spécialisé présent durant le Salon Expo finances d'Alger, SAB y a présenté plusieurs de ses solutions, dont notamment le portail de gestion commerciale et l'instruction de crédit. Pour rappel, SAB a organisé un Séminaire, le 10 mai 2010 dernier, à Alger pour présenter ses solutions progicielles bancaires. Enfin, les partenaires SAB/AEBS affirment ipso facto que «le choix d'une solution bancaire est stratégique, c'est l'outil de production de la banque, un investissement majeur de la banque pour les dix ans à venir. Ce choix doit s'appuyer sur une approche pragmatique».