L'investissement féminin en hausse Avec 34 micro-entreprises créées en 2009 par les femmes à Médéa, l'investissement féminin dans le cadre de l'ANSEJ aura confirmé sa tendance haussière amorcée durant ces trois dernières années. Cette percée est avant tout la détermination des pionnières comme Karima Besseri qui ont osé braver bien des préjugés pour s'affirmer en devenant chefs d'entreprises. Leur nombre atteint aujourd'hui pas moins de cinquante gérantes de micro-entreprises au niveau de la wilaya de Médéa. Certaines de ces entités économiques sont montées par des filles issues de l'université ou des CFPA, en dépit d'un environnement peu encourageant voire hostile. Néanmoins, elles ont montré la voie à leurs semblables. A. Missoumi Tension sur le ciment Encore une fois, le marché du ciment est au centre d'une spéculation que rien ne semble freiner. A travers cette nouvelle donne, c'est la lancinante question de l'approvisionnement des entreprises chargées de la réalisation des différents programmes liés à 1.700 logements, qui est posée à nouveau. Le prix du ciment est à 1400 DA le quintal, alors que son prix fixe est de 680 DA dans les unités de production. Idem pour le sac de 50 kg proposé à 530 DA au lieu de 320 DA. dans le sillage des efforts consentis pour endiguer les retombées de la spéculation autour des prix, une unité vient d'être implantée à Berrouaghia en attendant d'autres mesures annoncées par les pouvoirs publics. A. Missoumi Djelfa Un mort et sept blessés graves Un accident dramatique a eu lieu, hier, à Oued Adjiri, dans la commune de Guettara (wilaya de Djelfa) faisant un mort et sept blessés dans un état jugé grave. L'accident s'est produit lorsque le bus chargé de passagers, et roulant à vive allure, a dérapé avant de se renverser. Les victimes ont été évacuées vers les hôpitaux de Messaâd, et de Ghardaïa. Ainsi, et malgré l'arsenal juridique et répressif mis en place pour éviter les deuils, l'hécatombe continue sur les routes . A. Missoumi Djelfa Les robinets à sec Depuis plusieurs mois déjà, quelque 14.000 habitants de la commune El Guedid, dans la wilaya de Djelfa endurent un véritable " stress " en matière d'alimentation en eau potable. Cette situation pénible est due, selon les dires d'un élu local, au réseau principal dont la remise en marche nécessite un montant financier qui dépasse les capacités de la municipalité. Certaines familles payent entre 800 et 1000 DA aux " dealers " de l'eau pour une citerne, d'autres moins nanties font des kilomètres à pied pour ramener le précieux liquide. A. Missoumi