Dénonçant le silence observé par le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) a décidé d'observer une grève de trois jours, à partir du 22 février prochain. Selon un communiqué dudit syndicat, rendu public hier, les travailleurs de l'éducation sont également appelés à bouder la correction des devoirs et examens du troisième trimestre, de cette année scolaire. Toutefois, le SNTE a justifié le retour à la grève par la non prise en charge de la plateforme de revendications. Des revendications qui s'articulent autour de la promulgation du statut particulier, le dossier du régime indemnitaire, des œuvres sociales ainsi que la médecine du travail. Quant à la question de la retraite, le syndicat a affirmé son rejet de la retraite anticipée qui est désormais limitée à 60 ans et accordée après 25 ans de service pour les travailleurs de l'éducation. Il revendique, à ce propos, la retraite sans conditions d'âge ainsi que la comptabilisation des deux années du service militaire à l'expérience professionnelle. En outre, le syndicat a appelé l'ensemble des autres syndicats autonomes à rejoindre leur mouvement de protestation pour la constitution d'une action commune pour, lit-on dans le communiqué, aboutir à des résolutions concrètes. A. B. Dénonçant le silence observé par le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) a décidé d'observer une grève de trois jours, à partir du 22 février prochain. Selon un communiqué dudit syndicat, rendu public hier, les travailleurs de l'éducation sont également appelés à bouder la correction des devoirs et examens du troisième trimestre, de cette année scolaire. Toutefois, le SNTE a justifié le retour à la grève par la non prise en charge de la plateforme de revendications. Des revendications qui s'articulent autour de la promulgation du statut particulier, le dossier du régime indemnitaire, des œuvres sociales ainsi que la médecine du travail. Quant à la question de la retraite, le syndicat a affirmé son rejet de la retraite anticipée qui est désormais limitée à 60 ans et accordée après 25 ans de service pour les travailleurs de l'éducation. Il revendique, à ce propos, la retraite sans conditions d'âge ainsi que la comptabilisation des deux années du service militaire à l'expérience professionnelle. En outre, le syndicat a appelé l'ensemble des autres syndicats autonomes à rejoindre leur mouvement de protestation pour la constitution d'une action commune pour, lit-on dans le communiqué, aboutir à des résolutions concrètes. A. B.