Selon le ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, Djamel Ould Abbès, les dépenses sociales consenties annuellement par l'Etat en faveur des catégories défavorisées, représentent 12,5 % de son produit intérieur brut, contre 3 à 3,5 dans les pays développés. Intervenant en marge de l'ouverture d'un salon régional des produits de la micro-activité, abrité par la ville de Tizi Ouzou, le responsable a affirmé l'évolution «considérable» du montant du budget destiné à son département. Il est, en effet, passé de 60 millions de DA en 1999 à 95 milliards de DA en 2010. Pour expliciter cet effort supporté par le trésor public en matière de transferts sociaux, le ministre de la Solidarité a souligné que le montant destiné en 2009 au filet social, rien que pour la wilaya de Tizi Ouzou, avait atteint 7,3 milliards de DA. Quant aux programmes visant la résorption du chômage dans les zones déshéritées, en l'occurrence, le «Tup-Himo» (Travaux d'Utilité Publique à Haute Insertion de Main d'œuvre) et «Blanche Algérie», ils ont bénéficié d'une subvention estimé à 200 millions de DA. A.B. Selon le ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, Djamel Ould Abbès, les dépenses sociales consenties annuellement par l'Etat en faveur des catégories défavorisées, représentent 12,5 % de son produit intérieur brut, contre 3 à 3,5 dans les pays développés. Intervenant en marge de l'ouverture d'un salon régional des produits de la micro-activité, abrité par la ville de Tizi Ouzou, le responsable a affirmé l'évolution «considérable» du montant du budget destiné à son département. Il est, en effet, passé de 60 millions de DA en 1999 à 95 milliards de DA en 2010. Pour expliciter cet effort supporté par le trésor public en matière de transferts sociaux, le ministre de la Solidarité a souligné que le montant destiné en 2009 au filet social, rien que pour la wilaya de Tizi Ouzou, avait atteint 7,3 milliards de DA. Quant aux programmes visant la résorption du chômage dans les zones déshéritées, en l'occurrence, le «Tup-Himo» (Travaux d'Utilité Publique à Haute Insertion de Main d'œuvre) et «Blanche Algérie», ils ont bénéficié d'une subvention estimé à 200 millions de DA. A.B.