L'organisation américaine de défense des droits humains, Human Rights Watch (HRW) a exhorté, dans un communiqué, le gouvernement marocain à «mettre fin à toutes les restrictions de voyage pour des raisons politiques contre les militants sahraouis des droits de l'Homme ». L'organisation américaine de défense des droits humains, Human Rights Watch (HRW) a exhorté, dans un communiqué, le gouvernement marocain à «mettre fin à toutes les restrictions de voyage pour des raisons politiques contre les militants sahraouis des droits de l'Homme ». L'organisation a, par ailleurs, salué la remise des passeports confisqués à des militants sahraouis des droits de l'Homme empêchés de voyager à l'étranger depuis octobre dernier, a indiqué jeudi l'Agence de presse sahraouie (SPS). Le maroc, dans sa politique de répression en masse de la population sahraouie, en particulier, les activistes, défenseurs et militants des droits de l'Homme, use de tous les moyens de dissuasion. Selon la même organisation, depuis août 2009, les autorités marocaines ont refoulé à la frontière ou à l'aéroport au moins 13 militants sahraouis sans donner d'explication. Et à HRW d'ajouter : «les passeports ont été confisqués pour sept d'entre eux». «Au moins quatre autres personnes, qui tentaient de renouveler leur passeport, ont rencontré des retards inhabituels d'un mois ou plus», a regretté HRW. Le directeur du département Moyen-Orient et Afrique du Nord de HRW, Sarah Leah Whitson, a indiqué qu'elle attendait «avec impatience le jour où tout le monde se trouvant sous l'autorité marocaine puisse voyager librement à l'étranger au-delà de ses opinions politiques exprimées de manière pacifique». S'accordant sur les informations recueillies par Human Rights Watch, il a établi que les autorités marocaines «n'ont pas encore remis le passeport de Abderrahmane Bougarfa», confisqué en novembre dernier, alors qu'il s'apprêtait à se rendre en Espagne. D'autres cas similaires ont été recensés par HRW, à l'instar de trois membres du Comité contre la torture de Dakhla. Ces derniers sont en attente de nouveaux passeports après le dépôt de demandes de renouvellement, respectivement, en février 2008, octobre 2009 et décembre 2009. M. B. L'organisation a, par ailleurs, salué la remise des passeports confisqués à des militants sahraouis des droits de l'Homme empêchés de voyager à l'étranger depuis octobre dernier, a indiqué jeudi l'Agence de presse sahraouie (SPS). Le maroc, dans sa politique de répression en masse de la population sahraouie, en particulier, les activistes, défenseurs et militants des droits de l'Homme, use de tous les moyens de dissuasion. Selon la même organisation, depuis août 2009, les autorités marocaines ont refoulé à la frontière ou à l'aéroport au moins 13 militants sahraouis sans donner d'explication. Et à HRW d'ajouter : «les passeports ont été confisqués pour sept d'entre eux». «Au moins quatre autres personnes, qui tentaient de renouveler leur passeport, ont rencontré des retards inhabituels d'un mois ou plus», a regretté HRW. Le directeur du département Moyen-Orient et Afrique du Nord de HRW, Sarah Leah Whitson, a indiqué qu'elle attendait «avec impatience le jour où tout le monde se trouvant sous l'autorité marocaine puisse voyager librement à l'étranger au-delà de ses opinions politiques exprimées de manière pacifique». S'accordant sur les informations recueillies par Human Rights Watch, il a établi que les autorités marocaines «n'ont pas encore remis le passeport de Abderrahmane Bougarfa», confisqué en novembre dernier, alors qu'il s'apprêtait à se rendre en Espagne. D'autres cas similaires ont été recensés par HRW, à l'instar de trois membres du Comité contre la torture de Dakhla. Ces derniers sont en attente de nouveaux passeports après le dépôt de demandes de renouvellement, respectivement, en février 2008, octobre 2009 et décembre 2009. M. B.