Les travaux de réaménagement de la station de transport urbain de la place du 1er-Mai dans la commune de Sidi M'hamed ont débuté en été. Ce chantier n'avance pas du tout et ne semble pas vouloir se terminer. Il a pourtant connu une certaine animation, où un ballet incessant d'engins est entré en scène sur les lieux au cours de mois de janvier passé. Cette animation avait laissé présager que les travaux allaient enfin être relancés, mais c'était une fausse alerte, car aujourd'hui rien n'indique que les travaux se poursuivent. Les bus de l'Etusa, au début de ces traavaux, ont été délocalisés un peu partout à travers la commune, ce qui en plus de dérouter les usagers, a contribué à la création de bouchons monstres à travers la localité, les endroits désignés pour les stationnements des bus n'étant nullement indiqués à cet usage. À présent tout le monde s'interroge sur les raisons des lenteurs enregistrées par ce chantier. On peut même parler d'arrêt puisque quelle que soit l'heure à laquelle vous passez à proximité de cette station, mis à part les tas de sable et ciment détrempés par la pluie, nul ouvrier ou engin n'y sont visibles. Dire que ces travaux auraient dû, en principe, prendre, tout au plus deux à trois semaines de temps ! Y. B. Les travaux de réaménagement de la station de transport urbain de la place du 1er-Mai dans la commune de Sidi M'hamed ont débuté en été. Ce chantier n'avance pas du tout et ne semble pas vouloir se terminer. Il a pourtant connu une certaine animation, où un ballet incessant d'engins est entré en scène sur les lieux au cours de mois de janvier passé. Cette animation avait laissé présager que les travaux allaient enfin être relancés, mais c'était une fausse alerte, car aujourd'hui rien n'indique que les travaux se poursuivent. Les bus de l'Etusa, au début de ces traavaux, ont été délocalisés un peu partout à travers la commune, ce qui en plus de dérouter les usagers, a contribué à la création de bouchons monstres à travers la localité, les endroits désignés pour les stationnements des bus n'étant nullement indiqués à cet usage. À présent tout le monde s'interroge sur les raisons des lenteurs enregistrées par ce chantier. On peut même parler d'arrêt puisque quelle que soit l'heure à laquelle vous passez à proximité de cette station, mis à part les tas de sable et ciment détrempés par la pluie, nul ouvrier ou engin n'y sont visibles. Dire que ces travaux auraient dû, en principe, prendre, tout au plus deux à trois semaines de temps ! Y. B.