Si le gouvernement a, en effet, décidé de mettre en place ce système en vue de stabiliser les prix des fruits et légumes et mettre fin à la spéculation à travers, notamment, l'organisation de l'offre et de la demande, les prix de ces produits agricoles restent toujours élevés. Si le gouvernement a, en effet, décidé de mettre en place ce système en vue de stabiliser les prix des fruits et légumes et mettre fin à la spéculation à travers, notamment, l'organisation de l'offre et de la demande, les prix de ces produits agricoles restent toujours élevés. Alors que les prix affichés au niveau des marchés défient toute logique, d'aucuns s'interrogent sur l'utilité du système de régulation des prix mis en place par les pouvoirs publics. Si le gouvernement a, en effet, décidé de mettre en place ce système en vue de stabiliser les prix des fruits et légumes et mettre fin à la spéculation à travers, notamment, l'organisation de l'offre et de la demande, les prix de ces produits agricoles restent toujours élevés. A titre d'exemple, la pomme de terre et l'oignon, pour ne citer que ces deux produits, sont cédés à 50 DA pour le premier et 100 DA pour le second.. Interrogé sur cette situation compliquée qui règne sur nos marchés lors de son passage, hier matin, sur les ondes de la Radio nationale, le directeur de la régulation au ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Amar Assabah a estimé qu'il y a une augmentation de 30 % par rapport à l'année dernière. «Nous sommes au mois de mars (…) et, malgré cela, on relève qu'il y a une large disponibilité de la pomme de terre sur le marché, grâce à la bonne production de l'arrière-saison qui a atteint plus d'un million de quintaux jusqu'à présent, et elle n'est pas terminée», a-t-il déclaré. S'agissant du prix de l'oignon qui a également connu une flambée (100 DA), l'invité dira que son prix ne dépasse pas les 80 DA. «Ce n'est pas la période de l'oignon sec. Actuellement nous consommons des stocks constitués, c'est pour cela que les prix ont augmenté», a-t-il seulement fait savoir. M. Assabah a indiqué, d'autre part, qu'il a été décidé d'importer pour le prochain mois de Ramadhan, toutes les productions n'ayant pas enregistré un bon rendement. «Ce sera des importations d'appoint telle la viande rouge, mais ce sont des quantités très modestes comparées au volume de production existant, en plus, ce sera uniquement des importations ponctuelles qui serviront d'appoint limité sur le plan du temps et de la quantité», a-t-il néanmoins relevé. Selon lui, ces importations ne devraient en aucune manière perturber la balance commerciale de notre pays et n'engendreront pas de problèmes pour la production nationale. Interrogé sur les prévisions en matière de rendement agricole, M. Assabah a indiqué que pour la campagne céréalière actuelle, il a été procédé à l'emblavement d'une superficie de 3 millions 305 mille hectares ce qui représente 2 % d'augmentation par rapport à l'année 2009. «Ces 2% ont notamment profité au blé, puisqu'il y a eu une stabilité de la superficie consacrée à l'orge», a-t-il relevé. Et d'ajouter : «Pour ce qui est du rendement, je pense que c'est un peu prématuré de parler de rendement du moment que nous avons encore les mois d'avril et de mais pour voir les pluies et il faudrait également éviter les accidents, notamment les maladies phytosanitaires», a précisé l'invité de la radio. Y. D. Alors que les prix affichés au niveau des marchés défient toute logique, d'aucuns s'interrogent sur l'utilité du système de régulation des prix mis en place par les pouvoirs publics. Si le gouvernement a, en effet, décidé de mettre en place ce système en vue de stabiliser les prix des fruits et légumes et mettre fin à la spéculation à travers, notamment, l'organisation de l'offre et de la demande, les prix de ces produits agricoles restent toujours élevés. A titre d'exemple, la pomme de terre et l'oignon, pour ne citer que ces deux produits, sont cédés à 50 DA pour le premier et 100 DA pour le second.. Interrogé sur cette situation compliquée qui règne sur nos marchés lors de son passage, hier matin, sur les ondes de la Radio nationale, le directeur de la régulation au ministère de l'Agriculture et du Développement rural, Amar Assabah a estimé qu'il y a une augmentation de 30 % par rapport à l'année dernière. «Nous sommes au mois de mars (…) et, malgré cela, on relève qu'il y a une large disponibilité de la pomme de terre sur le marché, grâce à la bonne production de l'arrière-saison qui a atteint plus d'un million de quintaux jusqu'à présent, et elle n'est pas terminée», a-t-il déclaré. S'agissant du prix de l'oignon qui a également connu une flambée (100 DA), l'invité dira que son prix ne dépasse pas les 80 DA. «Ce n'est pas la période de l'oignon sec. Actuellement nous consommons des stocks constitués, c'est pour cela que les prix ont augmenté», a-t-il seulement fait savoir. M. Assabah a indiqué, d'autre part, qu'il a été décidé d'importer pour le prochain mois de Ramadhan, toutes les productions n'ayant pas enregistré un bon rendement. «Ce sera des importations d'appoint telle la viande rouge, mais ce sont des quantités très modestes comparées au volume de production existant, en plus, ce sera uniquement des importations ponctuelles qui serviront d'appoint limité sur le plan du temps et de la quantité», a-t-il néanmoins relevé. Selon lui, ces importations ne devraient en aucune manière perturber la balance commerciale de notre pays et n'engendreront pas de problèmes pour la production nationale. Interrogé sur les prévisions en matière de rendement agricole, M. Assabah a indiqué que pour la campagne céréalière actuelle, il a été procédé à l'emblavement d'une superficie de 3 millions 305 mille hectares ce qui représente 2 % d'augmentation par rapport à l'année 2009. «Ces 2% ont notamment profité au blé, puisqu'il y a eu une stabilité de la superficie consacrée à l'orge», a-t-il relevé. Et d'ajouter : «Pour ce qui est du rendement, je pense que c'est un peu prématuré de parler de rendement du moment que nous avons encore les mois d'avril et de mais pour voir les pluies et il faudrait également éviter les accidents, notamment les maladies phytosanitaires», a précisé l'invité de la radio. Y. D.