Des dizaines d'habitants de la commune de Benchoud relevant de la daïra de Dellys, à l'est de Boumerdès, ont fermé, dans la matinée d'hier, le siège de l'APC pour protester contre l'état lamentable de la route menant vers leur localité. Selon les dires des protestataires, ladite route a été revêtue récemment pour une enveloppe de 30 millions de dinars. «La dégradation de la route a été causée par des travaux de raccordement au réseau du gaz naturel», nous dira l'un des protestataire. Et d'ajouter «faute de suivi de travaux, la remise en état des routes n'a pas été faite». Depuis, c'est le calvaire pour les habitants de Benchoud, notamment les transporteurs et les automobilistes. Les dernières intempéries ont accentué dramatiquement le calvaire des usagers. Par ailleurs, les protestataires demandent aux autorités locales d'intervenir afin de mettre un terme aux dépassements de quelques citoyens ayant squatté récemment le cimetière de la ville. À l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était toujours fermé et tous les services de l'APC étaient paralysés. Tahar Ounas Des dizaines d'habitants de la commune de Benchoud relevant de la daïra de Dellys, à l'est de Boumerdès, ont fermé, dans la matinée d'hier, le siège de l'APC pour protester contre l'état lamentable de la route menant vers leur localité. Selon les dires des protestataires, ladite route a été revêtue récemment pour une enveloppe de 30 millions de dinars. «La dégradation de la route a été causée par des travaux de raccordement au réseau du gaz naturel», nous dira l'un des protestataire. Et d'ajouter «faute de suivi de travaux, la remise en état des routes n'a pas été faite». Depuis, c'est le calvaire pour les habitants de Benchoud, notamment les transporteurs et les automobilistes. Les dernières intempéries ont accentué dramatiquement le calvaire des usagers. Par ailleurs, les protestataires demandent aux autorités locales d'intervenir afin de mettre un terme aux dépassements de quelques citoyens ayant squatté récemment le cimetière de la ville. À l'heure où nous mettons sous presse, le siège de l'APC était toujours fermé et tous les services de l'APC étaient paralysés. Tahar Ounas