Des dizaines de citoyens du village Sidi Sâad, dit Iomaren dans la commune de Chabet El Ameur à 35 kilomètres au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès ont fermé, dans la matinée d'hier, le siège de leur APC pour réclamer l'aménagement de la route menant au village limitrophe Ait Brahim, laquelle route se trouve depuis deux décades dans un état lamentable. Selon les protestataires, ladite route est d'une longueur de 2,5 km et sa première ouverture date des débuts des années 80. Elle n'a jamais connu une quelconque opération de réfection en dépit des réclamations des habitants. « C'est un véritable calvaire, nos enfants se rendent à pied à l'école car le transport est inexistant en raison de la dégradation de la route », ajoutent les protestataires. Ces derniers avaient à maintes reprises exprimé en vain leur colère devant le siège de l'APC afin que les responsables locaux prennent en main leurs doléances. Approchés par nos soins, quelques protestataires ont soulevé une série de problèmes dans lesquelles leur localité se débat depuis plusieurs années sans qu'aucun responsable daigne améliorer le cadre de vie des citoyens qui y vivotent. Les villageois sont confrontés au problème d'eau potable et ce, malgré que leur localité soit raccordée depuis une quinzaine d'années au réseau d'eau potable. « Durant l'été dernier, nous avons souffert le martyr pour nous approvisionner en eau potable, nous payons plus de 700 DA pour nous procurer une citerne à eau », nous dira un villageois. Les protestataires ont fermé le siège de l'APC durant deux heures et se sont dispersés dans le calme suite aux promesses données par le P/APC. Ce dernier leur a déclaré que les travaux de revêtement de ladite route seront entamés avant le mois de novembre prochain. Des dizaines de citoyens du village Sidi Sâad, dit Iomaren dans la commune de Chabet El Ameur à 35 kilomètres au sud-est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès ont fermé, dans la matinée d'hier, le siège de leur APC pour réclamer l'aménagement de la route menant au village limitrophe Ait Brahim, laquelle route se trouve depuis deux décades dans un état lamentable. Selon les protestataires, ladite route est d'une longueur de 2,5 km et sa première ouverture date des débuts des années 80. Elle n'a jamais connu une quelconque opération de réfection en dépit des réclamations des habitants. « C'est un véritable calvaire, nos enfants se rendent à pied à l'école car le transport est inexistant en raison de la dégradation de la route », ajoutent les protestataires. Ces derniers avaient à maintes reprises exprimé en vain leur colère devant le siège de l'APC afin que les responsables locaux prennent en main leurs doléances. Approchés par nos soins, quelques protestataires ont soulevé une série de problèmes dans lesquelles leur localité se débat depuis plusieurs années sans qu'aucun responsable daigne améliorer le cadre de vie des citoyens qui y vivotent. Les villageois sont confrontés au problème d'eau potable et ce, malgré que leur localité soit raccordée depuis une quinzaine d'années au réseau d'eau potable. « Durant l'été dernier, nous avons souffert le martyr pour nous approvisionner en eau potable, nous payons plus de 700 DA pour nous procurer une citerne à eau », nous dira un villageois. Les protestataires ont fermé le siège de l'APC durant deux heures et se sont dispersés dans le calme suite aux promesses données par le P/APC. Ce dernier leur a déclaré que les travaux de revêtement de ladite route seront entamés avant le mois de novembre prochain.