Une assiette foncière vient d'être enfin dégagée pour la réalisation d'une unité supplémentaire de la Protection civile à Maâtkas. Le nouvel édifice qui abritera l'unité des pompiers, sera basé au sein du village Cherkia à quelque kilomètre du chef lieu. Ce projet, qui a été inscrit suite aux revendications insistantes des habitants de cette localité qui compte plus de 50.000 âmes, aurait pu démarrer bien avant si ce n'était le manque flagrant du foncier dont soufre la localité pour ne pas dire la Kabylie en général. Les habitants de cherkia ont toujours été contraints d'attendre l'intervention des éléments de la Protection civile d'autres communes limitrophes à chaque fois qu'un incendie se déclenche ou qu'une catastrophe se produise; des interventions qui arrivent souvent trop tard à cause de l'éloignement. Les habitant de cette commune, qui se sont toujours souciés à chaque approche de l'été, propice à la fréquence des incendies en cette période de grande canicule, se sentent quand même soulagés avant même le démarrage des travaux qui, selon un responsable de la daïra, «ne tarderont pas à être lancés puisque le problème principal, en l'occurrence le manque du foncier, vient d'être définitivement réglé pour ce qui concerne ce projet». K. A. Une assiette foncière vient d'être enfin dégagée pour la réalisation d'une unité supplémentaire de la Protection civile à Maâtkas. Le nouvel édifice qui abritera l'unité des pompiers, sera basé au sein du village Cherkia à quelque kilomètre du chef lieu. Ce projet, qui a été inscrit suite aux revendications insistantes des habitants de cette localité qui compte plus de 50.000 âmes, aurait pu démarrer bien avant si ce n'était le manque flagrant du foncier dont soufre la localité pour ne pas dire la Kabylie en général. Les habitants de cherkia ont toujours été contraints d'attendre l'intervention des éléments de la Protection civile d'autres communes limitrophes à chaque fois qu'un incendie se déclenche ou qu'une catastrophe se produise; des interventions qui arrivent souvent trop tard à cause de l'éloignement. Les habitant de cette commune, qui se sont toujours souciés à chaque approche de l'été, propice à la fréquence des incendies en cette période de grande canicule, se sentent quand même soulagés avant même le démarrage des travaux qui, selon un responsable de la daïra, «ne tarderont pas à être lancés puisque le problème principal, en l'occurrence le manque du foncier, vient d'être définitivement réglé pour ce qui concerne ce projet». K. A.