L'opération de moralisation de la vie publique au niveau des institutions de l'Etat à Annaba, entreprise depuis quelques temps par les services de sécurité, continue. Après les investigations menées au sein des services des douanes et de l'APC D'el Bouni, qui ont défrayé la chronique annabie récemment, après l'arrestation spéctaculaire des cadres des deux institutions pris en flagrant délit de corruption, c'est au tour de l'APC d'El Hadjar de passer sous les projecteurs, suite à une intense enquête menée par les éléments du CTRI de Sidi Amar sur la gestion des affaires de cette commune. Sept agents et élus de ladite APC ont été auditionnés par les enquêteurs la semaine passée. On croit savoir, selon des sources bien informées, qu'il s'agit, notamment, outre de transactions douteuses, d'abus de biens sociaux et de trafic dans la location de matériel de travaux au profit d'un opérateur privé. Le P/APC qui dit-il n'était pas informé de ces pratiques, a affirmé dans une déclaration au Midi libre que «les services de sécurité font leur travail et s'il y a dépassements constatés, chacun assumera ses responsabilités». Rafraf Mohamed L'opération de moralisation de la vie publique au niveau des institutions de l'Etat à Annaba, entreprise depuis quelques temps par les services de sécurité, continue. Après les investigations menées au sein des services des douanes et de l'APC D'el Bouni, qui ont défrayé la chronique annabie récemment, après l'arrestation spéctaculaire des cadres des deux institutions pris en flagrant délit de corruption, c'est au tour de l'APC d'El Hadjar de passer sous les projecteurs, suite à une intense enquête menée par les éléments du CTRI de Sidi Amar sur la gestion des affaires de cette commune. Sept agents et élus de ladite APC ont été auditionnés par les enquêteurs la semaine passée. On croit savoir, selon des sources bien informées, qu'il s'agit, notamment, outre de transactions douteuses, d'abus de biens sociaux et de trafic dans la location de matériel de travaux au profit d'un opérateur privé. Le P/APC qui dit-il n'était pas informé de ces pratiques, a affirmé dans une déclaration au Midi libre que «les services de sécurité font leur travail et s'il y a dépassements constatés, chacun assumera ses responsabilités». Rafraf Mohamed