Le secrétaire général du mouvement El Islah a fait un long plaidoyer en faveur de la nécessité de consacrer davantage la libre expression et liberté de la presse. A ce titre, Djamel Benabdessalam a fortement revendiqué la promulgation des lois adéquates. «Il faut libérez le code de l'information « a-t-il, en effet, soutenu, hier lors d'une cérémonie organisée en l'honneur des journalistes à l'occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse. Benabdessalam a aussi demandé aux pouvoirs publics de «libérer la loi sur la publicité» et l'ouverture du champ audiovisuelle. Plaidant pour la protection du journaliste et se prononçant à cet effet en faveur de la dépénalisation du délit de presse, Benabdessalam a indiqué que «la bataille d'aujourd'hui est celle de la dignité du journaliste, des libertés et des droits de l'homme». Il a aussi critiqué le gouvernement qui exerce un monopole sur l'information et la publicité en soulignant que «le quatrième pouvoir ne doit pas être l'otage du pouvoir exécutif». Dans son réquisitoire, le SG d'El Islah n'a pas épargné les partis politiques qui honorent les journalistes mais qui sont en même temps dans le gouvernement. L'allusion au RND et au FLN est, on ne peut, plus claire. kamal Hamed Le secrétaire général du mouvement El Islah a fait un long plaidoyer en faveur de la nécessité de consacrer davantage la libre expression et liberté de la presse. A ce titre, Djamel Benabdessalam a fortement revendiqué la promulgation des lois adéquates. «Il faut libérez le code de l'information « a-t-il, en effet, soutenu, hier lors d'une cérémonie organisée en l'honneur des journalistes à l'occasion de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse. Benabdessalam a aussi demandé aux pouvoirs publics de «libérer la loi sur la publicité» et l'ouverture du champ audiovisuelle. Plaidant pour la protection du journaliste et se prononçant à cet effet en faveur de la dépénalisation du délit de presse, Benabdessalam a indiqué que «la bataille d'aujourd'hui est celle de la dignité du journaliste, des libertés et des droits de l'homme». Il a aussi critiqué le gouvernement qui exerce un monopole sur l'information et la publicité en soulignant que «le quatrième pouvoir ne doit pas être l'otage du pouvoir exécutif». Dans son réquisitoire, le SG d'El Islah n'a pas épargné les partis politiques qui honorent les journalistes mais qui sont en même temps dans le gouvernement. L'allusion au RND et au FLN est, on ne peut, plus claire. kamal Hamed