La cour criminelle a eu la main lourde jeudi passé en condamnant à mort, un militaire au grade de caporal, reconnu coupable du crime avec préméditation commis sur son ex-épouse. Son avocat a beau plaidé la non culpabilité de l'accusé arguant que le présumé meurtrier n'avait aucune raison d'assassiner son ex-femme et qu'il avait un alibi en béton le mettant, en principe, à l'abri de toute suspicion ou poursuite (le jour du crime, il aurait été en service dans la caserne). Le jury n'a finalement retenu que la thèse du meutre avec préméditation longuement développée et soutenue par le représentant du ministère public au cours de cette audience perturbée à deux reprises par une perte de connaissance du mis en cause. Ce dernier a été confondu par des vérifications opérées par les enquêteurs sur le portable de la défunte où, grâce au concours technique de l'opérateur de Djezzy, il a été relevé les derniers appels qu'il a effectué, des faits matériels implacables et accablants contre sa déposition initiale, où il a nié avoir tenté ou pris contact pendant les 48h ayant précédé la disparition son ex-compagne, retrouvée en état de décomposition avancée le 21 juin 2009 dans le lit de l'oued Guergour. Détail aggravant, le prévenu, aurait prétexté avoir perdu son portable, lorsque la gendarmerie a voulu vérifier les derniers appels qu'il avait émis avant d'être interpellé; ce qui l'a sans doute perdu et conforté les jurés et le président de la cour dans leur intime conviction que le caporal S. B. était l'auteur du crime crapuleux de Nadia B., son ex-épouse. Rafraf M. La cour criminelle a eu la main lourde jeudi passé en condamnant à mort, un militaire au grade de caporal, reconnu coupable du crime avec préméditation commis sur son ex-épouse. Son avocat a beau plaidé la non culpabilité de l'accusé arguant que le présumé meurtrier n'avait aucune raison d'assassiner son ex-femme et qu'il avait un alibi en béton le mettant, en principe, à l'abri de toute suspicion ou poursuite (le jour du crime, il aurait été en service dans la caserne). Le jury n'a finalement retenu que la thèse du meutre avec préméditation longuement développée et soutenue par le représentant du ministère public au cours de cette audience perturbée à deux reprises par une perte de connaissance du mis en cause. Ce dernier a été confondu par des vérifications opérées par les enquêteurs sur le portable de la défunte où, grâce au concours technique de l'opérateur de Djezzy, il a été relevé les derniers appels qu'il a effectué, des faits matériels implacables et accablants contre sa déposition initiale, où il a nié avoir tenté ou pris contact pendant les 48h ayant précédé la disparition son ex-compagne, retrouvée en état de décomposition avancée le 21 juin 2009 dans le lit de l'oued Guergour. Détail aggravant, le prévenu, aurait prétexté avoir perdu son portable, lorsque la gendarmerie a voulu vérifier les derniers appels qu'il avait émis avant d'être interpellé; ce qui l'a sans doute perdu et conforté les jurés et le président de la cour dans leur intime conviction que le caporal S. B. était l'auteur du crime crapuleux de Nadia B., son ex-épouse. Rafraf M.