La commune du Khroub vient de bénéficier d'un projet de complexe sportif dont les travaux débuteront sous peu. Le complexe en question abritera un stade de cinquante mille places, de plusieurs infrastructures multidisciplinaires et un équipement hôtelier, selon la DLEP. L'assiette choisie pour l'édification se situe dans la localité de Guettar El-Aïch, à la croisée des chemins entre les municipalités de Constantine et du Khroub. A l'issue, la wilaya aura la latitude de postuler à l'accueil des manifestations sportives de haut niveau. La salle Issiakhem réhabilitée Dans son budget complémentaire, l'APW devra débloquer une enveloppe de 2,5 millions de dinars pour remettre à neuf la salle d'exposition Issiakhem du centre culturel Al Khalifa. Des dizaines d'artiste peintres et plasticiens, locaux et nationaux y ont organisé des vernissages et des expositions de leurs œuvres pendant des années. C'était d'ailleurs, le carrefour par excellence des « beaux arts » avant d'être détourné de sa vocation. Durant cette dernière décennie, cet espace a servi de « pied à terre » à la sphère politique dans ses différentes formations, particulièrement, lors des rendez-vous électoraux. G. H. La commune du Khroub vient de bénéficier d'un projet de complexe sportif dont les travaux débuteront sous peu. Le complexe en question abritera un stade de cinquante mille places, de plusieurs infrastructures multidisciplinaires et un équipement hôtelier, selon la DLEP. L'assiette choisie pour l'édification se situe dans la localité de Guettar El-Aïch, à la croisée des chemins entre les municipalités de Constantine et du Khroub. A l'issue, la wilaya aura la latitude de postuler à l'accueil des manifestations sportives de haut niveau. La salle Issiakhem réhabilitée Dans son budget complémentaire, l'APW devra débloquer une enveloppe de 2,5 millions de dinars pour remettre à neuf la salle d'exposition Issiakhem du centre culturel Al Khalifa. Des dizaines d'artiste peintres et plasticiens, locaux et nationaux y ont organisé des vernissages et des expositions de leurs œuvres pendant des années. C'était d'ailleurs, le carrefour par excellence des « beaux arts » avant d'être détourné de sa vocation. Durant cette dernière décennie, cet espace a servi de « pied à terre » à la sphère politique dans ses différentes formations, particulièrement, lors des rendez-vous électoraux. G. H.