Ce procédé commerciel, usité depuis des années dans bon nombre de pays, est plutôt nouveau sous notre ciel. Son application, depuis peu, demeure mitigée, pour ne pas dire inexistante. Combien de commerçants sont-ils au courant de cette pratique réglementée par les pouvoirs publics ? Ils se comptent sur les doigts d'une seule main. Ce procédé commerciel, usité depuis des années dans bon nombre de pays, est plutôt nouveau sous notre ciel. Son application, depuis peu, demeure mitigée, pour ne pas dire inexistante. Combien de commerçants sont-ils au courant de cette pratique réglementée par les pouvoirs publics ? Ils se comptent sur les doigts d'une seule main. La période des soldes d'été est officiellement lancée depuis la mi -juillet et durera jusqu'au 27 du mois en cours. Ce procédé commerciel, usité depuis des années dans bon nombre de pays, est plutôt nouveau sous notre ciel. Son application, depuis peu, demeure mitigée, pour ne pas dire inexistante. Combien de commerçants sont-ils au courant de cette pratique réglementée par les pouvoirs publics ? Ils se comptent, sans la moindre ironie ni exagération, sur les doigts d'une seule main. Un simple tour effectué dans les rues les plus commerçantes renseigne à plus d'un titre sur la question. La majorité des vendeurs interrogés ignorent tout des soldes et de leur signification… «Il nous est arrivé de faire des réductions, par moment, sans pour autant savoir qu'il existe des périodes légales pour le faire» convient-on à répondre. Dans les quartiers où le commerce du textile et du prêt-à- porter a élu domicile depuis des lustres, à l'image de la rue de France, l'information n'a pas été non plus véhiculée. Pour la direction du commerce, une campagne de sensibilisation à la période des soldes a été bel et bien menée. Sur le terrain, si le constat est autre, il faudra renvoyer cette situation à un manque de communication ou encore au faible ancrage de cette culture commerciale dans notre société. Quoi qu'il en soit, le consommateur à Constantine ne sera pas gâté cette fois-ci et ne pourra pas espérer faire de bonnes affaires. Point de soldes. Même au niveau des boutiques chics implantées à Saint-Jean ou au quartier Nedjma, les rabais ne sont pas au rendez-vous. Les rares commerces qui en ont recours, estimés à moins 1%, affichent uniquement, sur leurs devantures, le prix de réduction paratiqué.Or, la loi les met en obligation de mentionner le prix initial et celui du produit une fois soldé. A croire que certains rivalisent d'astuces pour pouvoir contourner la reglementation.Les soldes si, en principe, elles sont instaurées en vue de booster le chiffre d'affaire, elles semblent nourrir les craintes de certains. «Le secteur du textile ne se porte pas bien et les réductions minimisent davantage notre marge bénéficiaire qui n'est déjà pas importante» confiera un vendeur de produits locaux. Il faut reconnaître que les fêtes de l'Aïd qui coïncideront, à quelques jours près, avec la fin des cinq semaines des soldes, est une occasion propice pour écouler les stocks. Une aubaine pour la trésorerie des commerces car les familles débourseront sans se soucier des prix. N.D. La période des soldes d'été est officiellement lancée depuis la mi -juillet et durera jusqu'au 27 du mois en cours. Ce procédé commerciel, usité depuis des années dans bon nombre de pays, est plutôt nouveau sous notre ciel. Son application, depuis peu, demeure mitigée, pour ne pas dire inexistante. Combien de commerçants sont-ils au courant de cette pratique réglementée par les pouvoirs publics ? Ils se comptent, sans la moindre ironie ni exagération, sur les doigts d'une seule main. Un simple tour effectué dans les rues les plus commerçantes renseigne à plus d'un titre sur la question. La majorité des vendeurs interrogés ignorent tout des soldes et de leur signification… «Il nous est arrivé de faire des réductions, par moment, sans pour autant savoir qu'il existe des périodes légales pour le faire» convient-on à répondre. Dans les quartiers où le commerce du textile et du prêt-à- porter a élu domicile depuis des lustres, à l'image de la rue de France, l'information n'a pas été non plus véhiculée. Pour la direction du commerce, une campagne de sensibilisation à la période des soldes a été bel et bien menée. Sur le terrain, si le constat est autre, il faudra renvoyer cette situation à un manque de communication ou encore au faible ancrage de cette culture commerciale dans notre société. Quoi qu'il en soit, le consommateur à Constantine ne sera pas gâté cette fois-ci et ne pourra pas espérer faire de bonnes affaires. Point de soldes. Même au niveau des boutiques chics implantées à Saint-Jean ou au quartier Nedjma, les rabais ne sont pas au rendez-vous. Les rares commerces qui en ont recours, estimés à moins 1%, affichent uniquement, sur leurs devantures, le prix de réduction paratiqué.Or, la loi les met en obligation de mentionner le prix initial et celui du produit une fois soldé. A croire que certains rivalisent d'astuces pour pouvoir contourner la reglementation.Les soldes si, en principe, elles sont instaurées en vue de booster le chiffre d'affaire, elles semblent nourrir les craintes de certains. «Le secteur du textile ne se porte pas bien et les réductions minimisent davantage notre marge bénéficiaire qui n'est déjà pas importante» confiera un vendeur de produits locaux. Il faut reconnaître que les fêtes de l'Aïd qui coïncideront, à quelques jours près, avec la fin des cinq semaines des soldes, est une occasion propice pour écouler les stocks. Une aubaine pour la trésorerie des commerces car les familles débourseront sans se soucier des prix. N.D.